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Adrien Labit

Strasbourg

Photojournalist at Freelance

Articles

  • 5 days ago | pokaa.fr | Adrien Labit

    Depuis décembre dernier, une nouvelle marque a fait son apparition dans les produits destinés aux fêtard(e)s. Créée par une Strasbourgeoise, Feelnchill propose des produits festifs écoresponsables, et notamment des paillettes biodégradables. Depuis quelques années, les paillettes ont envahi les espaces festifs. Des soirées du week-end aux grands événements, il est désormais courant de croiser des make-ups aussi audacieux que scintillants.

  • 5 days ago | pokaa.fr | A. Me |Adrien Labit

    Depuis 1929, l’association des Clés d’or fédère et distingue des concierges d’hôtel réputés pour la qualité de leur travail. Itinéraires touristiques, bonnes adresses, demandes insolites… Ces professionnels se plient en quatre pour personnaliser le séjour des client(e)s de leurs hôtels. Échange avec Mathieu Glaser, en poste au Sofitel de Strasbourg.

  • 2 weeks ago | pokaa.fr | Adrien Labit

    Hier, 4.000 personnes sont descendues dans les rues de Strasbourg pour le traditionnel défilé du 1er mai. Mots d’ordres de l’intersyndicale pour cette journée internationale de lutte pour les droits des travailleur(se)s : la paix, la justice sociale, les retraites et les salaires. Un cortège fourni et festif à Strasbourg pour un 1er mai ensoleillé. Environ 4.000 personnes ont défilé dans les rues à l’appel de l’intersyndicale.

  • 2 weeks ago | pokaa.fr | Adrien Labit

    Suite au meurtre d’un fidèle dans une mosquée du Gard, une centaine de personnes se sont rassemblées hier soir à Strasbourg. Réunies place Kléber, elles disent non à l’islamophobie et ont souhaité rendre hommage à la victime. Hier soir, une centaine de personnes se sont rassemblées autour de la statue du général Kléber, suite à l’appel de différentes organisations comme le Mouvement pour l’amitié des peuples et contre le racisme (MRAP) et l’Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF).

  • 2 weeks ago | rue89strasbourg.com | Adrien Labit

    À l’automne 1918, après quatre années de guerre, la défaite de l’Empire allemand semble inéluctable. Ses armées reculent. Les désertions se multiplient. La population manque de tout. Reste à savoir quels sacrifices seront encore demandés aux civils et aux soldats pour défendre l’honneur des chefs de l’armée allemande. En Alsace et en Moselle, la situation est particulièrement critique. « Les villes sont au bord de la famine. Il y a une multiplication des vols alimentaires.