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Alison Moss

Paris

Arts Journalist and Editor at Le Quotidien de l'Art

Articles

  • 5 days ago | lequotidiendelart.com | Alison Moss

    Le programme de résidences porté par la Fondation d’entreprise Hermès, développé depuis 2010 au sein des manufactures de la maison, propose à des plasticiens de s’immerger dans des métiers d’art et de les intégrer à leur pratique. Quatre artistes ont été choisis dans le cadre du cinquième cycle, placé sous la direction artistique d’Emmanuelle Luciani (fondatrice du collectif d’artistes Southway Studio et du Pavillon Southway, lieu marseillais à mi-chemin entre galerie d'art et maison d'hôtes).

  • 1 week ago | lequotidiendelart.com | Alison Moss

    L’institution poursuit son rayonnement à l’international durant sa période de fermeture, prévue de 2025 à 2030. Ancré à Malaga (2015), Shanghai (2019), et prochainement Séoul (2025), Bruxelles (2026) et AlUla (2027), le Centre Pompidou a annoncé le 28 mai son implantation au Brésil, dans l’État du Paraná.

  • 1 week ago | lequotidiendelart.com | Alison Moss

    Voilà déjà 25 ans que le galeriste barcelonais Miquel Alzueta, issu du milieu de l’édition, s’est lancé dans l’aventure de l’art. Présente à Barcelone, Madrid et Casavells, dans un imposant manoir au nord de la Costa Brava, la galerie d’art contemporain organise également des résidences d’artistes non loin de là, à La Bisbal d’Empordà. Celle-ci a discrètement pris ses quartiers fin mars à Paris, au 8, rue des Beaux-Arts, dans un…

  • 1 week ago | lequotidiendelart.com | Alison Moss

    L’artiste franco-canadienne, représentée par les galeries Poggi (Paris), Goodman (Johannesbourg, Le Cap, Londres) et Tanja Wagner (Berlin), s’est vu attribuer le 9e prix Joan Miró, décerné dans le passé à des artistes comme Kader Attia (2017), Mona Hatoum (2011) ou Ólafur Eliasson (2007). Organisée de manière biennale par la Fondation Miró, à Barcelone, avec le soutien de la Stavros Niarchos…

  • 1 week ago | lequotidiendelart.com | Alison Moss

    Initialement prévu en octobre 2023, le lancement d’admire.art promettait de combler un créneau resté vide dans le secteur très dense des plateformes de ventes en ligne. Dévoilée à la NFT Factory, fermée depuis l’an dernier, l’initiative envisageait initialement la création d’une place de marché uniquement dédiée à des œuvres NFT, présentées par des galeries de premier plan (Templon, Opera, Strouk...).