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Annick Chevillot

Bern

Parliamentary Correspondent at Le Temps

Articles

  • 3 days ago | letemps.ch | Annick Chevillot

    2 min. de lecture La Suisse s’est engagée à acheter 36 avions de combat F-35A pour 6 milliards de francs. Le pays désire également acquérir 5 unités des systèmes américains Patriot pour la défense antiaérienne. Un achat devisé à près de 2 milliards. Deux programmes qui représentent le plus gros contrat d’armement de l’histoire suisse. Depuis quelques mois, les craintes autour de ces achats se multiplient. Pour les avions, c’est le montant de la facture qui inquiète: il va grimper.

  • 5 days ago | letemps.ch | Annick Chevillot

    Lire aussi: Comment Muse fait rager les métalleux du Hellfest Un autre groupe devait aussi mettre la barre très haut pour séduire les métalleux: Muse. Controversée, la venue du groupe britannique a fait couler beaucoup d’encre. Mais jeudi dernier, Eric Perrin, directeur de la communication du Hellfest, l’assurait: «Vu le show qu’ils préparent, ils risquent de faire taire de nombreux détracteurs!» Et leur setlist avait de quoi séduire.

  • 1 week ago | letemps.ch | Annick Chevillot

    3 min. de lecture Le dernier jour de session est traditionnellement dédié aux votes finaux. Les textes législatifs qui ont convaincu une majorité d’élus dans les deux chambres doivent encore être validés par le parlement dans son ensemble pour pouvoir entrer en vigueur. Il s’agit le plus souvent d’une formalité dans le processus législatif.

  • 1 week ago | letemps.ch | Annick Chevillot

    2 min. de lecture Quand on s’appelle «festival des musiques extrêmes», programmer le groupe de pop-rock British Muse prête à sourire. Et pour les métalleux, cette tête d’affiche n’a rien de sympathique. Bien au contraire. Les 240 000 festivaliers attendus dès ce jeudi et jusqu’à dimanche à Clisson acceptent de débourser quelque 350 euros pour voir du metal, et rien que du metal. La spécificité du Hellfest tient à ses particularités, patiemment construites depuis 2006.

  • 1 week ago | letemps.ch | Annick Chevillot

    4 min. de lecture En mars 2021, les Suisses rejetaient l’identité électronique (e-ID) à une large majorité (64,4%). Le refus a été analysé et le parlement a accepté une loi repensée de A à Z en décembre 2024. Ce qui a présidé aux réflexions pour ce nouvel outil législatif? La simplicité, la sécurité et la fiabilité. Mais la proposition de la Confédération ne convainc pas tout le monde et un référendum a été lancé sur le sujet.