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Bruno Meyerfeld

São Paulo

Journalist at Le Monde

Articles

  • 1 week ago | internazionale.it | Bruno Meyerfeld

    “Presidente! Presidente!”. Il 16 marzo una folla di diciottomila sostenitori di estrema destra, riunita a Rio de Janeiro sulla spiaggia di Copacabana con indosso maglie da calcio verdeoro, chiedeva a gran voce l’amnistia per i responsabili dell’assalto alle istituzioni di Brasília dell’8 gennaio 2023 e per Jair Bolsonaro, che rischia 43 anni di carcere per il tentato colpo di stato della fine del 2022.

  • 3 weeks ago | internazionale.it | Bruno Meyerfeld

    “Nda’evei celular jaiporu nhanhembo’ea py”. L’avviso è ben visibile, scritto in lettere maiuscole su un cartello rosso e bianco. È accompagnato dal disegno di un cellulare e dal simbolo che indica “vietato”. Il messaggio è chiaro: in questa scuola in un prefabbricato nella zona rurale di Marica, trenta chilometri a est di Rio de Janeiro, l’uso dei telefonini è proibito. Curiosamente, non c’è la traduzione in portoghese.

  • Feb 23, 2025 | lemonde.fr | Bruno Meyerfeld

    Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Feb 19, 2025 | lemonde.fr | Bruno Meyerfeld

    « Mort, je le suis déjà. » Regard lugubre, teint livide, Alexandre Querino de Oliveira, 42 ans, s’agrippe à son smartphone comme un naufragé à sa bouée. Sur l’écran défilent les photos de son fils, Alex, 18 ans. Pouce levé et tout sourire, occupé à son travail de livreur à moto, un gros sac isotherme noir sur le dos. « Alex était bon, drôle, travailleur. Il rêvait d’entrer dans la police… et c’est elle qui a fini par le tuer », sanglote-t-il.

  • Feb 17, 2025 | lemonde.fr | Bruno Meyerfeld

    Ils sont aujourd’hui considérés comme les cours d’eau les plus dangereux d’Amazonie. Non pour cause de difficultés de navigation ou de périlleux rapides, mais du fait des inquiétantes embarcations qui les fréquentent. Les « rios de cocaina » (rivières de cocaïne), comme on les appelle au Brésil, sont devenus la chasse gardée des narcotrafiquants.