Charles-Éric Blais-Poulin

1 month ago | lapresse.ca | Charles-Éric Blais-Poulin

Environ 85 % des solutions infonuagiques⁠1 utilisées par les ministères et les organismes publics québécois sont hébergés par des géants américains, a constaté La Presse. Ce portrait, tiré de dizaines de demandes d’accès à l’information auxquelles 18 des 23 ministères ont notamment répondu, inquiète de nombreux experts dans un contexte de guerre commerciale et de tensions politiques avec les États-Unis.

1 month ago | lapresse.ca | Charles-Éric Blais-Poulin

L’allocation pour l’intégration en service de garde (AISG) vise les enfants aux prises avec une « incapacité significative et persistante » qui nuit à leur développement au sein du groupe. Elle exige que les parents aillent chercher l’imprimatur d’un professionnel reconnu comme un orthophoniste, un ergothérapeute, un psychologue ou un médecin. Au privé, une évaluation avec un spécialiste de la petite enfance coûte jusqu’à 1000 $.

Jan 14, 2025 | lapresse.ca | Charles-Éric Blais-Poulin

Problèmes respiratoires, blessures mineures, hémorroïdes : Eden Telemed accepte des consultations pour à peu près tous les maux, selon ses publicités et son site internet. La plateforme fait notamment la promotion de ses services de prescription en cas d’infection de l’oreille. « Réserver une consultation médicale sur Eden Telemed pour une otite est très facile », écrit la plateforme sur son site internet.

Jan 14, 2025 | lapresse.ca | Charles-Éric Blais-Poulin

Prise en charge d’un patient qui soulève des « inquiétudes », facturation illégale, publicités agressives : une populaire clinique virtuelle met en lumière plusieurs préoccupations liées à la télémédecine privée, qui échappe bien souvent aux autorités professionnelles et gouvernementales. Le 7 février dernier, Harish Chandra Bahuguna, un résident indien en visite au Québec, consulte sur Eden Telemed pour de la toux, une difficulté respiratoire et une pression thoracique.

Jan 13, 2025 | lapresse.ca | Charles-Éric Blais-Poulin

TC Transcontinental a utilisé la reconnaissance faciale de manière illégale dans l’une de ses imprimeries, a tranché la Commission de l’accès à l’information. Il s’agit d’une rare décision sur le recours à la biométrie, la première depuis un renforcement législatif en 2022. « Il s’agit d’une piqûre de rappel pour les entreprises », note Antoine Guilmain, codirecteur du groupe de pratique national Cybersécurité et protection des données au cabinet Gowling WLG.