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Christophe Barbier

Levallois-Perret, Paris

Editor at BFMTV

Editor at Radio J

Articles

  • 2 weeks ago | franc-tireur.fr | Christophe Barbier

    Au Parti socialiste, moins les militants sont nombreux, plus il faut savoir compter. À peine 500 voix séparent Olivier Faure de Nicolas Mayer- Rossignol à l’issue du congrès : 500 voix sur 39815 militants; 500 voix sur 49 millions d’électeurs en France. S’il a fallu attendre toute la nuit du 5 au 6 juin pour savoir où la victoire allait débarquer, c’est parce que les fédérations d’outre-mer ont fait la différence.

  • 3 weeks ago | franc-tireur.fr | Christophe Barbier |Caroline Fourest

    FRANC-TIREUR. Boris Vallaud n’a pas voulu donner de consigne, mais parle de rassembler la « gauche de Glucksmann à Ruffin », une phrase de Faure. Qu’en avez-vous pensé ? Ses voix risquent-elles de vous manquer ? NICOLAS MAYER-ROSSIGNOL. De très nombreux amis de Boris Vallaud ont exprimé leur soutien pour ma candidature, dans de grosses fédérations. Dans le Lot, la Dordogne, la Moselle, en Ardèche, la Nièvre ou le Pas-de-Calais, notamment.

  • 1 month ago | franc-tireur.fr | Christophe Barbier

    Tout à sa joie après la victoire de Bruno Retailleau dans la bataille pour la présidence de LR, Sophie Primas s’est empressée d’annoncer la « fin du macronisme ». Elle a ainsi commis trois erreurs. La première est d’avoir oublié qu’elle avait été nommée porte-parole du gouvernement par le président de la République, et qu’il n’était pas idoine de se comporter comme si elle était toujours sénatrice LR des Yvelines.

  • 1 month ago | franc-tireur.fr | Christophe Barbier

    L’Histoire retiendra peut-être que le sort de l’Europe s’est joué dans un laboratoire de l’École normale supérieure de la rue d’Ulm, au mitan des années 1990. Là, un jeune mathématicien roumain a épanoui une conscience politique qui l’a mené à la présidence de son pays. La victoire de Nicusor Dan, face au nationaliste George Simion, est un moment important de l’histoire européenne.

  • 1 month ago | franc-tireur.fr | Christophe Barbier

    Entre Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau, concurrents pour la présidence des Républicains, ce devait être un duo ou un duel. Ce ne fut ni l’un ni l’autre, plutôt un slalom parallèle dans les marécages, qui se termine dimanche 18 mai sans avoir élevé le débat. La recherche d’idées neuves a cédé la place au ballet des stimuli habituels de la droite : la sécurité, l’identité, le rejet de l’assistanat, la baisse des impôts.