
Christophe Barbier
Articles
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1 week ago |
franc-tireur.fr | Christophe Barbier
Il est difficile de distinguer, dans la stratégie de François Bayrou, ce qui relève de la volonté de réforme structurelle et ce qui ressort de la ruse pour repousser l’échéance de la censure. D’évidence, le «conclave» sur les retraites et la discussion sur la proportionnelle appartiennent à la deuxième catégorie. Mais où faut-il ranger la nouvelle initiative du Premier ministre : consulter le peuple sur un ambitieux plan de redressement des finances publiques ?
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2 weeks ago |
franc-tireur.fr | Christophe Barbier
La dépêche de l’AFP tombe à 20 h 52, le 17 janvier 1969 : «Si le général de Gaulle venait à se retirer, je me porterais candidat à sa succession», a déclaré M. Pompidou. Ce que l’on désigne depuis par «l’appel de Rome» fut une bombe politique. Le 28 avril, le chef de l’État démissionne et Georges Pompidou le remplace à l’Élysée.
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3 weeks ago |
franc-tireur.fr | Christophe Barbier
Ce n’est pas une victoire, c’est un triomphe. Réélue secrétaire nationale des Écologistes avec le score de 73%, Marine Tondelier a profité de la division de ses adversaires et de l’absolution – ou de l’amnésie – des adhérents. Oubliée la déroute aux élections européennes de juin 2024 (5,5%), effacée l’injustice commise envers Julien Bayou. Marine Tondelier est maintenue à son poste comme si elle avait empilé les succès. Pourquoi ce paradoxe ?
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1 month ago |
historia.fr | Christophe Barbier
Contenu réservé aux abonnésL’importance des favorites de la République peut se mesurer à l’aune des fantasmes qu’elles suscitent. Elle doit aussi se jauger à l’influence réelle qu’elles exercent sur les dirigeants dont elles pimentent la vie intime. Par Christophe BarbierPublié le 12 avr. 2025 à 09:01« A-t-il encore sa connaissance ? », s’enquiert le médecin, soucieux de connaître l’état de son patient, frappé d’apoplexie.
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1 month ago |
franc-tireur.fr | Christophe Barbier
C’était jadis un rendez-vous majeur de la vie politique française, une grand-messe idéologique, «la Pâque des socialistes », comme le disait François Mitterrand. Les congrès du PS à Épinay en 1971, à Metz en 1979, à Rennes en 1990, à Brest en 1997 et même encore à Reims en 2008 ont décidé de l’avenir de la gauche de gouvernement. Il y a peu de chances que celui de Nancy, qui se tiendra du 13 au 15 juin, passionne les foules et forge le futur...
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