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  • 1 week ago | republicain-lorrain.fr | Claire Pieretti

    Accueil Economie Économie Vote du budget 2025 à Homécourt : c’est passé… mais pas sans critiques Il y a un an, le budget d’Homécourt était rejeté par l’opposition et une partie de la majorité. Autant dire que le conseil du 14 avril était tendu, car on portait au vote celui de 2 025. Baisse d’impôts, travaux, subventions… on revient sur la séance.

  • 1 week ago | republicain-lorrain.fr | Claire Pieretti

    Les vingt musiciens de l’Accordéon Club Lorrain ont bien l’intention de dépoussiérer l’image un peu vieillotte de leur instrument. Lors de leur concert de printemps, le 27 avril, à Pablo-Picasso, ils interpréteront, entre autres, des musiques de films, dont celle du « Parrain ». Et ils ne vont pas en rester là ! - Aujourd'hui à 13:00 - Temps de lecture : « Je ne supporte pas qu’on dise que l’accordéon, c’est vieillot. C’est complètement faux.

  • 1 week ago | republicain-lorrain.fr | Claire Pieretti

    Accueil Economie Économie Comment la municipalité de Homécourt agit pour faire revivre la rue de la Commune-de-Paris Deux boulangeries, un fleuriste, des cafés et la bimbeloterie Franzino… la rue de la Commune-de-Paris à Homécourt était florissante autrefois. Mais des maisons laissées à l’abandon ternissent l’image du centre-ville. Tout comme l’ancien dancing La Java. Que fait la mairie pour améliorer le secteur ? On leur a demandé.

  • 1 week ago | republicain-lorrain.fr | Claire Pieretti

    En fin d’année dernière, 43 élèves décidaient de quitter l’école de musique, après le départ de 3 de leurs profs. Le point d’achoppement : une demande d’augmentation refusée par l’association Crescendo, qui en a la gestion. Depuis, ils demandent des explications et l’élection d’un nouveau comité. On fait le point.

  • 1 week ago | republicain-lorrain.fr | Claire Pieretti

    Un collectif s’est créé pour souligner, ce que ses membres estiment être des dysfonctionnements au sein du comité. Que leur répondez-vous ? Ronald Madier, président de Crescendo  : « Quand nous sommes arrivés, on a reçu un gros appel à l’aide de deux profs, l’un de guitare, l’autre de batterie, car ils estimaient que leurs postes étaient en danger. Laurent Doré, un prof historique, voulait faire entrer ses deux fils.