Denis Therriault
Reporter at TVA Nouvelles
Reporter @tvanouvelles @JE_enquete. Actualité, breaking, affaires policières, judiciaires, criminelles. Je tweete nos histoires, l'inter [email protected]
Articles
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Nov 7, 2024 |
journaldequebec.com | Denis Therriault
De plus en plus de jeunes conducteurs québécois jouent avec leur vie et celle des autres en coursant à haute vitesse dans le trafic et en zigzaguant entre les voitures. Cette dangereuse activité, appelée white lining, tire son nom d’une manœuvre qui consiste à passer rapidement d’une ligne blanche à l’autre. Elle a d’abord été observée aux États-Unis, au Mexique et dans l’Ouest canadien.
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Nov 7, 2024 |
journaldemontreal.com | Denis Therriault
De plus en plus de jeunes conducteurs québécois jouent avec leur vie et celle des autres en coursant à haute vitesse dans le trafic et en zigzaguant entre les voitures. Cette dangereuse activité, appelée white lining, tire son nom d’une manœuvre qui consiste à passer rapidement d’une ligne blanche à l’autre. Elle a d’abord été observée aux États-Unis, au Mexique et dans l’Ouest canadien.
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Oct 17, 2024 |
journaldemontreal.com | Denis Therriault
Le nombre de plaintes qui nécessitent des enquêtes sur le web a augmenté de façon très importante dans les dernières années au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Entre 2021 et 2023, il y a eu une augmentation de 37% des demandes d’assistance faites au Module cyberenquête du SPVM. «On utilise de plus en plus internet, les réseaux sociaux et les applications pour nos achats, nos messages, nos sauvegardes, nos documents et nos mots de passe.
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Oct 17, 2024 |
journaldequebec.com | Denis Therriault
Le nombre de plaintes qui nécessitent des enquêtes sur le web a augmenté de façon très importante dans les dernières années au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Entre 2021 et 2023, il y a eu une augmentation de 37% des demandes d’assistance faites au Module cyberenquête du SPVM. «On utilise de plus en plus internet, les réseaux sociaux et les applications pour nos achats, nos messages, nos sauvegardes, nos documents et nos mots de passe.
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Mar 28, 2024 |
journaldemontreal.com | Denis Therriault
Des groupes d’intimidateurs utilisent les réseaux sociaux comme Snapchat, Instagram ou WhatsApp pour s’en prendre à des victimes de plus en plus jeunes. Des messages de harcèlement, de menaces de mort, et même d’incitation au suicide visent parfois des enfants aussi jeunes qu’en première année. «J’ai eu des dossiers impliquant une victime de harcèlement, d’intimidation qui avait 6 ans» dit la sergente-détective Maya Alieh du Service de police de la ville de Montréal.
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