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Éric Moreault

Québec

Director of Arts Information and Digital Content at Le Soleil

Directeur information, contenu numérique au quotidien Le Soleil. Maniaque de musique et de cinéma.

Articles

  • 2 weeks ago | latribune.ca | Éric Moreault

    Jule (Ophelia Kolb) a plutôt tout d’une femme qui ne sait plus quoi faire pour s’extirper du marasme économique dans lequel elle s’enfonce impitoyablement. Elle élève seule Claire, Loïc et Sami (Jasmine Kalisz Saurer, Paul Besnier et Arthur Devaux). Le film commence à peine que la mère plante sa progéniture dans une halte-routière avec un laconique: «Je reviens dans cinq minutes.»Le trio finit par s’enfuir, traverser l’autoroute et rentrer à pied.

  • 2 weeks ago | lenouvelliste.ca | Éric Moreault |Le Soleil

    Le réalisateur britannique et son comparse Ray Mendoza ont scénarisé leur long métrage en se basant sur les souvenirs d’une unité de Navy Seal déployée dans la phase finale de la bataille de Ramadi, en 2006. Mendoza, un agent de liaison radio, est interprété par le jeune acteur canadien D’Pharaoh Woon-A-Tai (Beans, de Tracey Deer). En pleine nuit, les soldats prennent possession d’une maison et tiennent en otage une famille.

  • 2 weeks ago | lenouvelliste.ca | Éric Moreault |Le Soleil

    Jule (Ophelia Kolb) a plutôt tout d’une femme qui ne sait plus quoi faire pour s’extirper du marasme économique dans lequel elle s’enfonce impitoyablement. Elle élève seule Claire, Loïc et Sami (Jasmine Kalisz Saurer, Paul Besnier et Arthur Devaux). Le film commence à peine que la mère plante sa progéniture dans une halte-routière avec un laconique: «Je reviens dans cinq minutes.»Le trio finit par s’enfuir, traverser l’autoroute et rentrer à pied.

  • 3 weeks ago | lavoixdelest.ca | Éric Moreault

    La citation de la peintre mexicaine, en 1950, ouvre le très beau Hola Frida. Adulte, un retour dans l’atelier de son père photographe va lui rappeler son enfance heureuse… jusqu’à ce que la maladie frappe. Le long métrage d’animation québécois se concentre sur cette période où Kahlo vit à Coyoacán avec son paternel progressiste, sa mère aimante et sa petite sœur Cristina.

  • 3 weeks ago | lenouvelliste.ca | Éric Moreault |Le Soleil

    La citation de la peintre mexicaine, en 1950, ouvre le très beau Hola Frida. Adulte, un retour dans l’atelier de son père photographe va lui rappeler son enfance heureuse… jusqu’à ce que la maladie frappe. Le long métrage d’animation québécois se concentre sur cette période où Kahlo vit à Coyoacán avec son paternel progressiste, sa mère aimante et sa petite sœur Cristina.

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