François-Xavier Taboni

1 month ago | bande-a-part.fr | François-Xavier Taboni

Comment se porte le cinéma américain ? Si on en croit la moisson de récompenses majeures récoltées par Anora (cinq statuettes, dont celle du meilleur film, pour six nominations), on pourrait dire que le cinéma indépendant distribué en salle se porte bien. Pourtant, le film de Sean Baker, dont le résultat au box-office américain est le plus faible depuis celui de Démineurs (meilleur film en 2010 et lui-même considéré comme une anomalie à l’époque), ressemble plus à une exception qu’à la norme.

Sep 15, 2024 | bande-a-part.fr | François-Xavier Taboni

Pour sa dixième édition, le festival de films du patrimoine présentés dans des versions restaurées se place sous le signe, très vaste, de la fête. De la France à l’Inde, en passant par l’Italie, les États-Unis ou la République tchèque, les multiples éloges cinématographiques des festivités établissent une belle mappemonde cinématographique.

Apr 11, 2024 | bande-a-part.fr | François-Xavier Taboni

Alors que les derniers bruits de la programmation cannoise de 2023 viennent d’être entendus aux Oscars avec les récompenses accordées à Anatomie d’une chute et à La Zone d’intérêt, le cru 2024 vient d’être dévoilé. Entre Cannes Première, les diverses séances spéciales, Un Certain Regard et La Compétition officielle, cette sélection pléthorique laisse entrevoir un programme des plus alléchants.

Mar 11, 2024 | bande-a-part.fr | François-Xavier Taboni

Le sacre était annoncé depuis quelques semaines, il a été acté : avec sept Oscars (dont celui du meilleur film et du meilleur réalisateur, ainsi que deux prix d’interprétation) Oppenheimer est le grand gagnant de cette 96e cérémonie des Oscars.

Jun 27, 2023 | bande-a-part.fr | François-Xavier Taboni

C’était il y a quinze ans déjà. Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal était présenté en avant-première mondiale au Festival de Cannes, suscitant des réactions pour le moins mitigées. Il y a un mois, sur la Croisette, Indiana Jones et le Cadran de la destinée, le premier volet réalisé par James Mangold, a connu un destin finalement similaire.