Hamid Enayat

1 week ago | brusselsmorning.com | Hamid Enayat

On the evening of April 28, the French Foreign Minister warned during a United Nations Security Council session that if negotiations over the Iranian regime’s nuclear program fail to yield results, France will not hesitate to reinstate UN sanctions.

1 week ago | wnd.com | Hamid Enayat

After the third day of U.S.-Iran nuclear negotiations concluded last Saturday, Iranian Foreign Minister Abbas Araghchi described the discussions as “serious,” though marked by significant obstacles. He cautiously expressed hope for progress. The Iranian regime continues to assert its “inalienable right” to enrich uranium on its own soil and refuses to export its enriched stockpiles.

2 weeks ago | ladepeche.fr | Hamid Enayat

Après huit années d’une guerre dévastatrice contre l’Irak, l’ayatollah Khomeiny, fondateur de la République islamique, fut contraint d’accepter un cessez-le-feu. Il qualifia alors cette décision de « boire la coupe de poison ». Ce conflit, inutile et sanglant, coûta à l’Iran près de deux millions de morts et de blessés, ainsi qu’un millier de milliards de dollars de pertes. Jusqu’au bout, Khomeiny refusa de céder, déclarant : « Nous combattrons jusqu’à la dernière maison de Téhéran.

3 weeks ago | x-pression.media | Hamid Enayat

Récemment, le ministre des Affaires étrangères d’Oman a annoncé que la République islamique pourrait être autorisée à poursuivre l’enrichissement d’uranium à 3,67 %. Dans le même temps, The New York Times rapporte que l’Iran aurait proposé d’autoriser les États-Unis et d’autres pays à surveiller son programme d’enrichissement nucléaire. En surface, cela pourrait sembler une avancée. Mais s’agit-il vraiment d’un pas vers la paix — ou d’un piège familier dans un jeu dangereux ?

3 weeks ago | tdg.ch | Hamid Enayat

OpinionChronique – Iran: exécutions imminentesUne réflexion du politologue iranien Hamid EnayatAbonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. BotTalkLe 24 avril marque l’anniversaire de l’assassinat du professeur Kazem Radjavi, tué à Genève par un commando envoyé depuis Téhéran. Plus de trente ans ont passé, mais la justice suisse n’a jamais classé ce crime: le Tribunal fédéral l’a qualifié de génocide et de crime contre l’humanité, insusceptibles de prescription.