Janis Zickfeld

Nov 20, 2024 | cerveauetpsycho.fr | Janis Zickfeld

Adrien a un cas de conscience. Il est en thérapie après s’être séparé de sa femme. Et il ne s’autorise pas à pleurer. Pour lui, ce serait une sorte d’échappatoire, un moyen pratique de se soulager, mais sans réellement se confronter à sa perte. A-t-il raison de voir les choses ainsi ? Et d’abord, les larmes soulagent-elles réellement de la tristesse ? De façon générale, nous pleurons quand certains de nos besoins fondamentaux sont entravés.