
Jean-Sébastien Massart
Freelance Journalist at Critikat
Pur produit des Hauts-de-France Journaliste pour #silhouette parfums #silhouette joaillerie / horlogerie Critique de cinéma dilettante #critikat Enseignant
Articles
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2 weeks ago |
critikat.com | Jean-Sébastien Massart
Dans un immeuble situé au milieu de nulle part, un couple – Anx et Cassandra – est confronté à une épidémie qui s’attaque à la peau avant de provoquer de violentes mutations. Après Le Règne animal et dans une moindre mesure Vermines avec sa tour HLM mise en quarantaine, Else apporte une nouvelle pierre à l’édifice des récits fantastiques plus ou moins inspirés de la crise du Covid.
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2 months ago |
critikat.com | Jean-Sébastien Massart
« Freud qui baise avec sa mère, c’est pas pour moi », avoue Anis (Hakim Jemili) à sa psy (Clotilde Courau). La scène n’est pas loin de conclure L’Amour, c’est surcoté et il faut peut-être y voir un point d’aboutissement, sinon une forme d’apogée : par amour pour Madeleine (Laura Felpin), le triste Anis accepte le principe d’une thérapie pour ne plus avoir à porter le deuil de son ami d’enfance, Isma.
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Feb 25, 2025 |
critikat.com | Jean-Sébastien Massart
Dans un Mexique touristique et suranné, Lee (Daniel Craig), écrivain d’âge mûr, tombe amoureux du jeune Eugène (Drew Starkey) et entame assez vite une relation avec lui. Résumé ainsi, Queer pourrait n’être qu’une variation autour de Call Me by Your Name, mais l’initiation que le film relate dépasse assez vite le cap de la romance gay pour atteindre dans son dernier chapitre une dimension ésotérique et mortifère qui déroute complètement.
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Jan 14, 2025 |
critikat.com | Jean-Sébastien Massart
L’Amour au présent marche sur les traces de Nos étoiles contraires, le best-seller de John Green dont l’adaptation cinématographique (en 2014) a remis au goût du jour la romance sur fond de chimiothérapie, vieille recette de mélo hollywoodien sur laquelle reposait déjà le succès planétaire de Love Story au début des années 1970.
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Dec 16, 2024 |
critikat.com | Jean-Sébastien Massart
« Coward » s’entend dire le jeune Leonard Fife (Jacob Elordi) au moment où le sergent-instructeur qui vient de l’examiner le déclare inapte au service militaire. La séquence, qui se situe à la fin de Oh, Canada, résume tout ce que la laborieuse confession de Fife a voulu mettre au jour, peut-être dans l’espoir d’une absolution : l’aveu de sa propre lâcheté, aussi bien vis-à-vis de son pays que des femmes qui ont traversé sa vie.
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Episode 2 de ma série sur la comédie française publié dans la revue Débordements, où Franck Dubosc et Fabien Onteniente rencontrent Valeria Bruni Tedeschi... #FranckDubosc #FabienOnteniente #ValeriaBruniTedeschi

Exclusions/inclusions. A propos de #LesEstivants de #ValeriaBruniTedeschi et #Allinclusive de #FabienOnteniente : https://t.co/yeOiNvLK2F https://t.co/d0yqRKXCvr

Ceux qui reprochent à Cold War son affectation ne sont peut-être plus sensibles au style d'un film, ils confondent l'écriture de Pawlikowski avec de la pose arty. Dommage pour eux: Cold War est le soleil de cet automne https://t.co/CeN0dNNVQm