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1 week ago |
critikat.com | Josué Morel |Corentin Lê
Festival de Cannes 2025 : Jour 2 - Mission : Impossible - The Final Reckoning (Christopher McQuarrie, Sélection officielle – Hors compétition) - Critikat
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1 week ago |
critikat.com | Josué Morel
The Phoenician Scheme sort l’artillerie lourde au bout de quelques secondes seulement. À bord d’un avion, Zsa-zsa Korda (Benicio del Toro), un riche industriel qui doit sa réussite à son don pour la magouille, semble sur ses gardes, comme s’il se préparait à l’imminence d’une catastrophe.
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1 week ago |
critikat.com | Josué Morel
Le jury présidé par Juliette Binoche a remis une Palme d’or à la fois sans surprise et plutôt paradoxale à Jafar Panahi. Sans surprise, car ce prix, on aurait pu le prédire à l’annonce de la sélection, au regard du symbole que le cinéaste incarne (rappelons qu’il fut empêché de travailler, puis arrêté et emprisonné par les autorités de son pays) et du soutien que lui avait publiquement affiché par le passé la comédienne de Copie conforme.
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2 weeks ago |
critikat.com | Josué Morel |Corentin Lê
Festival de Cannes 2025 : Jour 10 - Résurrection (Bi Gan, Sélection officielle – Compétition) - Critikat
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2 weeks ago |
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Benjamin de la compétition, Saeed Roustaee n’est ceci dit plus un espoir : trois films en l’espace de quatre ans l’ont solidement installé dans le paysage du cinéma iranien et mondial. Cette productivité n’est pourtant pas le gage d’une montée en puissance : si La Loi de Téhéran était un film inégal, il promettait davantage que Leïla et ses frères, qui lui-même présentait davantage d’intérêt que Woman and Child.
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2 weeks ago |
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Cinéastes doubles, Jean-Pierre et Luc Dardenne le sont à plus d’un titre.
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2 weeks ago |
critikat.com | Josué Morel
Depuis L’Auberge espagnole, sorte de film générationnel dont le principal intérêt était d’être le témoin d’une époque (ce qui n’est déjà pas si mal), Klapisch n’a pas beaucoup changé : ses deux obsessions sont toujours de filmer la jeunesse et la famille, l’une se prolongeant dans l’autre. On expérimente les possibles de l’existence, on tombe amoureux, on enfante, on lègue, et c’est reparti pour un tour, car la vie chez Klapisch consiste au fond en ça, à monter à bord d’un beau et joli manège.
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2 weeks ago |
critikat.com | Josué Morel
Valeur sentimentale, émotion paradoxale. Disons d’emblée que le nouveau film de Joachim Trier témoigne, par l’attention qu’il porte à ses acteurs et actrices (en particulier le trio formé par Stellan Skarsgård, Renate Reinsve et Elle Fanning), d’une certaine vibration qui ne faisait qu’affleurer dans ses précédents films, trop écrits et charmeurs. Ces travers, Trier ne les a pas complètement supprimés, mais le cheminement de son scénario se fait à la fois plus patient et moins volontariste.
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2 weeks ago |
critikat.com | Josué Morel
Un soir de septembre 2015 à Venise, je me souviens avoir assisté à la projection presse de La Rivière sans fin d’Oliver Hermanus, présenté en compétition. Jamais je n’ai vu, encore à ce jour, un film être aussi mal reçu par une salle : huées copieuses, mines furax à la sortie, exaspération collective d’avoir vu la Mostra programmer un film aussi épouvantable. L’accueil fut tel que le film, pourtant une coproduction française avec Nicolas Duvauchelle, ne sortit pas de notre côté des Alpes.
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2 weeks ago |
critikat.com | Josué Morel
Ce n’est pas la première fois que Martone réalise le biopic d’un écrivain (Leopardi). Ce n’est pas non plus la première fois qu’il brosse un portrait atmosphérique (Nostalgia) : Fuori (soit : « dehors ») raconte les semaines suivant la sortie de prison de Goliarda Sapienza, écrivaine alors presque inconnue dans son propre pays, et qui ne connaîtra le succès qu’une dizaine d’années après sa mort.