Laurent Fortat

2 months ago | leberry.fr | Laurent Fortat

Oui, Châteauroux a été à la hauteur, ce soir. Il est dernier, et alors ? C’est une vaine jérémiade que d’évoquer la situation sportive, et non-sportive aussi d’ailleurs. Il faut foncer, se défoncer. Du reste, en National, la Berri a toujours gagné sur le terrain de Nancy. En tout cas, avec son milieu fortifié (Doumbouya, Kamissoko, Pierre), Châteauroux joue avec caractère et même sans complexe.

2 months ago | leberry.fr | Laurent Fortat

Le stade du roi Pelé, 2000 licenciés (le plus gros club français), un terrain niché dans le 13e arrondissement entre le tramway, le périph, les immeubles, bienvenue à Paris Atletico, club de National, fier de l’être. Et déterminé à y rester. Tout comme Châteauroux. Les deux clubs sont au même étage, soit le palier des gémonies ; celui de la Berri ce soir. Pour cette rencontre, Cris relance Duterte (longtemps convalescent) à la place de Colella (blessé ?) et confirme Doumbouya.

2 months ago | leberry.fr | Laurent Fortat

’est sans doute la force de l’habitude. Les conférences d’avant-match sont plutôt détendues ces derniers temps à la Berri. La peur n’évitant pas le danger, autant l’affronter sereinement. « C’est un match à la vie à la mort oui, mais dans chaque vestiaire on dira la même chose ce vendredi soir », sourit Cris. L’entraîneur sait aussi que son équipe, malgré un point pris sur six lors des deux derniers matchs, reste dans le top 5 de National sur un classement de la phase retour.

2 months ago | leberry.fr | Laurent Fortat

Réception de Versailles, déplacement à Paris 13 puis réception de Villefranche. Trois rendez-vous comme une trinité du destin. Mais commencer à parler d’un deuxième match est une fiction inenvisageable pour tous les entraîneurs du monde. C’est donc bien sur le cas de Cris, le coach castelroussin : « Moi, je ne veux pas me projetter au-delà du match face à Versailles. C’est celui-là qui m’importe. » Et il a forcément raison. Demain, c’est si loin.

Mar 15, 2025 | leberry.fr | Laurent Fortat

Si sportivement, le défenseur « Jako » Pelletier a été une recrue déclic pour la Berri, même s’il y a eu cette défaite ce vendredi au Mans (2-0) ; une autre recrue, économique celle-là, a reboosté le club. Au niveau structurel, tout va également mieux depuis que, on le sait, le président Benjamin Gufflet a convaincu l’homme d’affaires parisien, Djamel Zemmar (50 ans), spécialisé dans la distribution pharmaceutique, de participer au redressement économique du club.