Lorraine de Foucher

2 months ago | lemonde.fr | Lorraine de Foucher |Jérôme Lefilliâtre

France Sexual violence Subscribers only Their love story began on paper. At the end of 2017, Dina B. (a pseudonym), 25, was dreaming of directing films, working in events management and running educational assistance projects for underprivileged children. Her commitment to these projects led her to contact Nekfeu, whose real name is Ken Samaras. At 27, he was already a French rap star, and his first solo album, Feu, had just passed the half-million sales mark.

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Société Justice Article réservé aux abonnés Leur histoire d’amour a commencé sur papier. Fin 2017, Dina B. (un pseudonyme), 25 ans, rêve de réaliser des films, travaille dans l’événementiel et porte des projets de soutien scolaire aux enfants défavorisés. Un engagement pour lequel elle contacte Nekfeu, de son vrai nom Ken Samaras, déjà une star du rap français à 27 ans, dont le premier album solo, Feu, vient de passer le demi-million d’exemplaires vendus.

Dec 6, 2024 | lemonde.fr | Lorraine de Foucher |Jérôme Lefilliâtre

C’est l’une des principales affaires judiciaires causées par des accusations de violences sexuelles et sexistes dans le cinéma français. Convoqué par un juge d’instruction vendredi 6 décembre, Jacques Doillon n’a pas été mis en examen à l’issue de son interrogatoire de première comparution, mais placé sous le statut – plus favorable pour lui – de témoin assisté. Le parquet de Paris, qui a dévoilé cette information dans la soirée, n’a pas donné davantage de détails.

Oct 28, 2024 | lemonde.fr | Lorraine de Foucher

Cet article vous est offert Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous Se connecter Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ? Inscrivez-vous gratuitement Ses doigts forment un pistolet qu’elle pointe sur sa tempe, puis elle mime la pression sur la détente et l’explosion de sa tête. « Voilà ce que j’ai eu envie de faire après la naissance de mon enfant », énonce-t-elle, à peine la conversation entamée.

Oct 21, 2024 | lemonde.fr | Lorraine de Foucher |Jérôme Lefilliâtre

Société Police et justice Article réservé aux abonnés Elle aura mis presque vingt ans, et encore un après-midi entier, à laisser son cerveau retourner dans ce bureau. A autoriser sa mémoire à l’emmener dans cette pièce située au même étage que la rédaction de la première chaîne de télévision d’Europe. Là où, le soir du 14 mars 2005, après le journal de 20 heures de TF1 auquel elle avait assisté, elle a attendu son présentateur alors tout-puissant, Patrick Poivre d’Arvor.