Marc St-Hilaire

Sep 12, 2024 | lequotidien.com | Marc St-Hilaire

Mme Laforest semble vêtue d’une cape de téflon, et il y a fort à parier que sa cote de popularité fait rougir plusieurs de ses collègues à l’Assemblée nationale, toutes formations confondues. Sa grande présence sur le terrain explique en partie le phénomène Laforest dans Chicoutimi. Nul ne peut lui reprocher d’être avare d’apparitions publiques: Andrée Laforest est de toutes les conférences de presse, de tous les événements.

Sep 8, 2024 | lequotidien.com | Marc St-Hilaire

À préciser d’entrée de jeu: je ne me serais jamais permis cet éditorial sans en avoir d’abord parlé au principal intéressé, lequel a accepté que nous abordions le sujet. Il a acquiescé, précisant qu’il a cessé de fréquenter les réseaux sociaux depuis longtemps déjà. Trop de méchanceté, trop d’ignorance… Bref, trop de merde sans le filtre de la bienséance.

Sep 4, 2024 | lequotidien.com | Marc St-Hilaire

L’importance de ce «superministre» au sein du gouvernement Legault était immense. Nombreux se demandaient d’ailleurs qui, de Pierre ou de François, tenait réellement le gouvernail de l’État. Mais une chose est sûre: partout sur son passage, les décideurs municipaux, personnalités d’affaires et autres gens influents des secteurs privé et public faisaient la file sans rechigner, sourire béat, dans l’espoir de saluer de vive voix le symbole du pouvoir. Comme lors d’une audition avec le pape.

Apr 17, 2024 | lequotidien.com | Marc St-Hilaire

Quand on s’attarde posément sur cette ligne de communication habilement répétée par le chef de la division Aluminium de Rio Tinto, Jérôme Pécresse, mercredi, devant le Comité permanent de l’industrie et de la technologie, une question s’impose : nos attentes sont-elles démesurées? Parce que le Saguenay d’après-demain, c’est encore plus loin que le Saguenay de demain!Maintenant, en admettant que la réponse est positive, une sous-question surgit spontanément : à qui la faute?

Apr 5, 2024 | lequotidien.com | Marc St-Hilaire

Le rejet de la résolution proposée par le conseiller Serge Gaudreault, à huit élus contre sept, n’est pas un incident diplomatique en soi. Chaque séance, il est souhaitable qu’au moins une résolution fasse l’objet d’un débat. C’est l’essence même de la démocratie. Mais ce rejet témoigne de la division qui gruge ce conseil depuis le début de l’actuel mandat.