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  • 1 month ago | reussir.fr | Michel Portier

    La réussite de l’ensilage d’herbe à la remorque autochargeuse est conditionnée par un choix de machine adapté à son exploitation. Si le volume et le nombre de couteaux figurent en première ligne, d’autres points techniques sont à étudier. Le choix du volume de la remorque autochargeuse dépend de la quantité d'herbe que l'on souhaite récolter en une journée et de l’éloignement des chantiers.

  • 2 months ago | reussir.fr | Michel Portier

    Avec son Pack Transition, Guilbart associe le fissurateur Combinable 600x12 au semoir à dents Tdrill pour évoluer vers le semis direct. Le Pack Transition de Guilbart associe un fissurateur à un semoir à dents. © Guilbart Le Pack Transition de Guilbart intègre un rouleau faca entre les dents de fissuration et les dents semeuses. © Guilbart Le Pack Transition de Guilbart comprend un fissurateur a dents droites ou courbes.

  • 2 months ago | reussir.fr | Michel Portier

    La conception des dérouleuses de balles rondes évolue de façon à pouvoir distribuer tous les types de fourrage, y compris les plus collés. Certaines machines acceptent même les balles carrées. Certaines dérouleuses disposent d’un bras de chargement. © Emily La dérouleuse de balles reste une machine très présente dans les cours de ferme, appréciée pour sa simplicité d’utilisation et son coût limité, en comparaison à d’autres matériels de distribution des fourrages.

  • Feb 6, 2025 | reussir.fr | Michel Portier

    Regroupant de moins en moins de marques, le marché du pick-up offre un choix plutôt restreint en termes de motorisations. Les modèles purement utilitaires doivent désormais se limiter à des quatre cylindres. Le malus écologique de 60 000 euros qui plane sur les pick-up utilitaires a entraîné une nette réduction de l'offre. © M.

  • Jan 27, 2025 | reussir.fr | Michel Portier

    En Vendée, le Gaec Bauchet utilise depuis trois ans deux automates Lely Vector pour alimenter les 350 bovins blonde d’Aquitaine de leur troupeau à 145 vêlages. Le gain de main-d’œuvre et la réduction des refus sont plus nets que l’amélioration de la croissance des animaux. Fabrice Bauchet, éleveur aux Landes-Guenusson (85) : «On a gagné du temps et réduit la pénibilité en automatisant l'alimentation de notre troupeau.» © M.

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