Mickaël Bergeron

3 days ago | lequotidien.com | Mickaël Bergeron

Ce n’est pas vraiment une surprise que la députée sherbrookoise ne fasse pas partie du nouveau cabinet libéral. C’est peut-être un quatrième mandat d’affilé pour le Parti libéral du Canada, avec quelques têtes d’affiche toujours là, mais une nouvelle administration gère le parti, avec plusieurs nouveaux visages. Je le mentionne avec beaucoup d’empathie, mais rares sont les analyses entourant le nouveau cabinet qui parlent d’Élisabeth Brière.

3 days ago | latribune.ca | Mickaël Bergeron

Ce n’est pas vraiment une surprise que la députée sherbrookoise ne fasse pas partie du nouveau cabinet libéral. C’est peut-être un quatrième mandat d’affilé pour le Parti libéral du Canada, avec quelques têtes d’affiche toujours là, mais une nouvelle administration gère le parti, avec plusieurs nouveaux visages. Je le mentionne avec beaucoup d’empathie, mais rares sont les analyses entourant le nouveau cabinet qui parlent d’Élisabeth Brière.

4 days ago | latribune.ca | Mickaël Bergeron

Lorsque l’Association des gens d’affaires du centre-ville avait cessé ces activités, en 2022, je m’étais demandé pourquoi le centre-ville de Sherbrooke n’avait pas une société de développement commercial. J’ai pu voir plusieurs SDC à l’œuvre dans différentes villes et leur impact est généralement positif. Pour les commerçants, l’organisme devient leur porte-voix auprès des gouvernements, des institutions et auprès de la population.

1 week ago | latribune.ca | Mickaël Bergeron

Clarifions ma position personnelle sur cet enjeu. L’interdiction des cellulaires dans les classes, comme c’est le cas depuis janvier 2024, est une mesure tout à fait compréhensible et favorable. C’est un outil excessivement distractif et très difficile à gérer pour les enseignantes qui ont déjà bien des choses à gérer sans devoir faire la police sur les cellulaires. L’extension avancée la semaine dernière par le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, est plus discutable.

1 week ago | lequotidien.com | Mickaël Bergeron

Clarifions ma position personnelle sur cet enjeu. L’interdiction des cellulaires dans les classes, comme c’est le cas depuis janvier 2024, est une mesure tout à fait compréhensible et favorable. C’est un outil excessivement distractif et très difficile à gérer pour les enseignantes qui ont déjà bien des choses à gérer sans devoir faire la police sur les cellulaires. L’extension avancée la semaine dernière par le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, est plus discutable.