Miriam Davis

Sep 6, 2024 | mdedge.com | Miriam Davis

TOPLINE:The use of menopausal hormone therapy (MHT) increases breast cancer risk in women with a strong family history of breast cancer. These women have a striking cumulative risk of developing breast cancer (age, 50-80 years) of 22.4%, according to a new modelling study of UK women.

Aug 7, 2024 | univadis.it | Miriam Davis

IN SINTESIUn nuovo studio che esplora il legame ben consolidato, ma pieno di punti di domanda, tra endometriosi e disturbi del sonno, è il primo a scoprire che l'ipereccitabilità svolge un ruolo di mediazione. La condizione, osserva lo studio, è curabile. L'ipereccitabilità nei disturbi del sonno si riferisce a uno stato di forte attivazione fisiologica e psicologica che interferisce con l'insorgenza, il mantenimento o la qualità del sonno.

Aug 7, 2024 | univadis.fr | Miriam Davis

Méthodologie Cette étude est une étude cas-témoins populationnelle de tous les cas incidents de lymphome malin chez des adultes suédois (âgés de 20 à 60 ans), enregistrés dans le Registre national suédois du cancer entre 2007 et 2017 (n = 11 905). L’exposition aux tatouages a été évaluée à l’aide d’un questionnaire structuré distribué à la fois aux cas et à trois témoins aléatoires par cas, appariés selon l’âge et le sexe, non atteints de lymphome.

Aug 5, 2024 | univadis.fr | Miriam Davis

À RETENIR : Sur un suivi médian de 46,7 mois, l’horaire de la prise de l’ET n’a pas été lié à la survie sans maladie. Le sous-ensemble de patientes ayant reçu du tamoxifène le soir ou la nuit a eu une survie sans maladie plus longue que celles ayant reçu du tamoxifène plus tôt dans la journée (hazard ratio : 0,43 ; IC à 95 % : 0,22–0,85). L’association était encore plus forte chez les patientes en préménopause (hazard ratio : 0,32 ; 0,14–0,74).

May 22, 2024 | univadis.fr | Miriam Davis

Méthodologie Il s’agissait d’une étude de cohorte nationale rétrospective portant sur 1,18 million d’orientations pour lesquelles aucun cancer n’avait été détecté, au cours de la période 2013–2014, après une « orientation en urgence pour cause de suspicion de cancer ». L’objectif principal était de déterminer l’occurrence et le type de cancer ultérieur au cours des années 1 à 5 après l’absence de diagnostic de cancer dans l’année ayant suivi une orientation.