Mooréa Lahalle

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1 Quel est le principe ? « Ruben, c’est un réseau qui permet à un particulier de trouver un professionnel pouvant garder son chien ou son chat à la dernière minute », résume Benjamin Winckell, son fondateur installé à Brec’h. La plateforme a été créée fin février par cet ingénieur informatique de 35 ans. « Concrètement, une personne qui a besoin d’un service de garde remplit le formulaire, avec les informations concernant son animal, via le site. On valide les données en la rappelant.

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Voilà six ans que cette famille d’Auray participe à l’Alréenne, la marche-course de 6 km qui se tient ce dimanche 13 avril. Anne-Lise Kérébel sera sur la ligne de départ avec ses trois enfants, son mari et leur famille respective. « Certains viennent de Poitiers, d’autres de Bordeaux… », détaille celle qui est impliquée dans la course depuis sa création. « Un moment de retrouvailles »Elle et ses deux fils, Loïs, 19 ans, et Maxence, 21 ans, vont marcher.

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Vous êtes originaire de Grenoble. Comment êtes-vous passée des montagnes à la voile ? C’est une passion familiale. Mes grands-parents habitent à Annecy, où mon grand-père a co-créé le club de voile de Sevrier. Mes parents se sont rencontrés parce que mon père était moniteur saisonnier. Et ma mère a fait de la planche à voile jusqu’à son septième mois de grossesse. J’ai commencé la voile enfant, au club de Sevrier, puis en Optimist et catamaran.

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L’étiquette du « sauveur de femmes », Pierre Foldes n’en veut pas. Le chirurgien urologue de 73 ans est l’inventeur d’une chirurgie qui permet de réparer les mutilations génitales, notamment l’excision. « Moi, je ne suis que le docteur, avance le militant. Ce sont les femmes, en franchissant la porte pour venir nous voir, qui font tout le travail ». Si Pierre Foldes avait écouté ses parents - un père ingénieur, une mère femme au foyer -, il n’aurait jamais fait médecine.

1 month ago | letelegramme.fr | Mooréa Lahalle

Léla Riguidel a 25 ans et mille envies. Elle a le débit rapide de ceux qui veulent faire un tas de choses, vite. Dans les hangars du centre de formation de l’Afpa, situés sur le port de Saint-Goustan, à Auray, elle travaille sur « La Rieuse », le voilier de son père, Eugène Riguidel. « On l’a ramené à la voile de Locmariaquer. Il y a pas mal de parties endommagées que l’on doit retaper. Il faut refaire le liston, la peinture, changer les bancs, énumère-t-elle. Il y a du boulot ».