Paul Boyer

1 week ago | nzz.ch | Paul Boyer |Pierre Terraz

Eine Kugel fliegt über den Schützengraben, alle ducken sich. Den Kopf im falschen Moment zu heben, kann tödlich sein. Drei junge Männer vom Bataillon Urban Revolutionary Front bewegen sich gebeugt weiter. Nur sechzig Meter trennen sie von den Stellungen der Militärjunta unter General Min Aung Hlaing. NZZ.ch benötigt JavaScript für wichtige Funktionen. Ihr Browser oder Adblocker verhindert dies momentan. Bitte passen Sie die Einstellungen an.

1 week ago | ledevoir.com | Paul Boyer

Au Bangladesh, une fille sur deux est mariée avant ses 18 ans, et une sur quatre devient mère avant cet âge. Le Devoir a pu assister à une cérémonie de mariage arrangé entre une adolescente de 16 ans et un homme de 32 ans. Au milieu d’une foule en liesse, malgré les décibels des enceintes crachant une bouillie sonore tonitruante, Parvin semble pétrifiée.

1 month ago | lefigaro.fr | Paul Boyer

Un morceau de mur, de couleur bleue, tient encore debout comme par miracle. Un missile se serait abattu ici, le résultat serait le même ; mais c’est l’océan et la pluie qui ont tout détruit. Une partie du toit s’est effondrée. Le salon, rempli de gravats, ressemble plus à un chantier en cours qu’à un ancien lieu de vie. Hagard, un homme erre au milieu des débris, tourne en rond, incrédule, comme si son ancien séjour allait réapparaître.

Dec 31, 2024 | theguardian.com | Paul Boyer

In a church built on stilts facing the sea, two 19-year-old American Mormon priests sit in front of the altar chatting to young Guna people. Elder Burr and Elder Aba, from the US states of Utah and Oregon respectively, reached the island of Kanir-Dup , in the Guna Yala (San Blas) archipelago in Panama, by pirogue more than four months ago, sent by their movement to teach the Indigenous community about the word of Jesus Christ.

Dec 26, 2024 | reporterre.net | Paul Boyer |Pierre Terraz

Dacca (Bangladesh), reportageEn sandales, sous une maigre toiture en tôle, des ouvriers de fortune répètent inlassablement les mêmes gestes. Les doigts noircis par le cambouis, Mohamad Islam trifouille les fils d’une vieille batterie de voiture. Après l’avoir dégagée, il la démonte minutieusement puis commence à faire fondre le plomb — un métal lourd toxique. «Parfois, il y a des éclaboussures lorsque je le fonds, plaisante-t-il, chalumeau à la main.