Pierre Sautreuil

1 week ago | la-croix.com | Pierre Sautreuil

En 2024, comme l’année précédente, la traditionnelle parade militaire de Moscou célébrant la victoire contre l’Allemagne nazie s’était démarquée par sa modestie : « seulement » 9 000 soldats avaient foulé la Place rouge enneigée, accompagnés de 61 véhicules blindés, dont un seul tank. Un record négatif, dans lequel plusieurs observateurs avaient voulu lire l’usure de la machine de guerre russe, deux ans après son invasion de l’Ukraine.

1 week ago | la-croix.com | Pierre Sautreuil

La confrontation tant redoutée a commencé. Deux semaines après l’attentat meurtrier qui a causé la mort de 26 personnes au Cachemire indien, l’Inde a lancé dans la nuit du 6 au 7 mai une série de frappes sur un ensemble de cibles situées au Pakistan, qu’elle accuse d’être lié aux auteurs de cette tuerie. Un conflit supplémentaire entre ces deux puissances nucléaires rivales, et dont le Cachemire est à nouveau l’épicentre.

1 week ago | la-croix.com | Pierre Sautreuil

Est-ce un nouveau signe d’embellie diplomatique entre l’Ukraine et les États-Unis ? D’après un article publié dimanche 4 mai par le New York Times, Kiev devrait prochainement recevoir au moins un nouveau système de défense antiaérien américain Patriot. Un premier système jusqu’alors basé en Israël doit être envoyé en Ukraine après sa remise à neuf, et un second originaire d’Allemagne ou de Grèce le suivra peut-être, ont indiqué plusieurs responsables américains au journal new-yorkais.

2 weeks ago | la-croix.com | Pierre Sautreuil

Volodymyr Zelensky semble avoir réussi à se faire entendre. Samedi 26 avril, Donald Trump a adressé un message de fermeté à son homologue russe, Vladimir Poutine, quelques heures après son échange avec le président ukrainien à Rome, en marge des obsèques du pape François. « Il n’y avait aucune raison pour Poutine de tirer des missiles sur des zones civiles, des villes et des villages, ces derniers jours, a écrit le président américain sur son réseau Truth Social.

2 weeks ago | la-croix.com | Pierre Sautreuil

On a beaucoup parlé, ces derniers temps, de la « patience » de Donald Trump. Depuis un mois, on dit qu’elle serait « usée » par les manœuvres dilatoires de Vladimir Poutine, par le refus du président russe d’accepter l’offre ukraino-américaine formulée le 11 mars d’un cessez-le-feu de trente jours – mesure présentée comme préalable à l’engagement de négociations de paix plus concrètes.