Roxane Léouzon

1 week ago | ledevoir.com | Roxane Léouzon

Le Festival Phénomena a obtenu jeudi le 39e Grand Prix du Conseil des arts de Montréal. « C’est une immense reconnaissance pour toute la communauté d’artistes interdisciplinaires et inclassables avec qui je travaille », s’est réjouie la directrice artistique, D. Kimm, en entrevue avec Le Devoir en marge du gala de remise de prix au Palais des congrès de Montréal. Selon elle, la mouvance d’art atypique, qu’elle juge « vivante et explosive » a bien besoin de visibilité.

1 week ago | ledevoir.com | Roxane Léouzon

En mettant le doigt sur des problèmes, les documentaires sur l’environnement peuvent souvent être déprimants, estime la productrice-réalisatrice Anne-Marie Rocher. Son nouveau long métrage, Forêts urbaines, est tout le contraire. « Je me suis rendu compte que les gens qui œuvrent en foresterie urbaine sont dans le positif. Il y a de beaux modèles engageants, qui donnent le goût d’être dans l’action », rapporte Mme Rocher.

1 week ago | ledevoir.com | Roxane Léouzon

L’essai tout frais d’Alexandre Duval, Obsession : élections ! aurait pu s’intituler « Pourquoi vous êtes cyniques face à la politique ». Selon ce journaliste qui a couvert l’Assemblée nationale de 2022 à 2024 pour Radio-Canada, les comportements électoralistes des politiciens sont en grande partie responsables de la désaffection du public envers la politique. Et il serait plus que temps que les choses changent pour éviter que la démocratie continue de s’effriter.

2 weeks ago | ledevoir.com | Roxane Léouzon

L’excès d’empathie, cette capacité humaine à se mettre à la place d’autrui, est désormais vu comme une faiblesse par une partie des puissants dirigeants de ce monde, comme Elon Musk, et leurs partisans. « Pour te dire à quel point il est dans le champ, Elon Musk : selon Darwin et la théorie de l’évolution, l’empathie est au cœur de notre survie comme espèce », expose pour sa part la scénariste et actrice québécoise Florence Longpré.

3 weeks ago | ledevoir.com | Roxane Léouzon

Écrite par l’humoriste Guillaume Wagner, la série télévisée Libre dès maintenant pose un regard tendre sur un groupe d’amis de la génération Z alors qu’ils découvrent leur identité et leurs aspirations. Le Devoir a pu visionner les quatre premiers épisodes, de 22 minutes chacun, mercredi.