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1 week ago |
centrepresseaveyron.fr | à Paris |Rui Dos Santos
"Quand j’entre dans un nouveau lieu, je relève en quelques minutes toutes les petites choses qui n’ont pas leur place et celles qui pourraient être magnifiées". Ses amis parlent d’un don. En toute humilité, elle préfère mettre en exergue "un savoir-faire". C’est surtout l’histoire d’une passion ancrée qui se traduit "comme une sorte de scan intégré".
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1 week ago |
centrepresseaveyron.fr | à Paris |Rui Dos Santos
L'Aveyronnais, Paris, Sénergues Publié le 16/04/2025 à 11:01 Originaire de Sénergues, par sa mère, chef de projets informatique dans la finance, il soufflera ses quarante bougies le 19 avril. Président du groupe folklorique, il est surtout concentré sur le spectacle des 100 ans servi vendredi 13 juin, sur les planches parisiennes du théâtre Edouard VII. Julien Laporte n’est pas prêt d’oublier le millésime 2025. Le 19 avril, il soufflera, en effet, ses quarante bougies.
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2 weeks ago |
centrepresseaveyron.fr | à Paris |Rui Dos Santos
L'Aveyronnais, Espalion, Paris Publié le 08/04/2025 à 11:01 Originaire d’Espalion, où il est né en novembre 1966, avec le hameau d'Alayrac comme port d'attache, et où il a beaucoup donné pour le rugby, il travaille chez Olivier Bertrand distribution, à Paris, depuis 2014.
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3 weeks ago |
ladepeche.fr | Rui Dos Santos
Nicolas Mairiniac a grandi à Rodez. Après le collège dans le chef-lieu, il a ensuite intégré le lycée agricole de La Roque à Onet-le-Château, choisissant ensuite un DUT à Aurillac, avant un retour dans l’établissement castonétois pour une classe prépa. Il a alors poussé les portes de l’école nationale d’ingénieurs des travaux agricoles (Enita) de Clermont-Ferrand. Il n’a pas oublié : « Mon objectif avoué était de travailler dans le milieu de l’agroalimentaire ».
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1 month ago |
centrepresseaveyron.fr | Rui Dos Santos
Si elle est née à Rodez, en 1967, dans une famille 100 % aveyronnaise, des deux côtés, si elle est restée "très attachée" au hameau de Saleyrac, près de Vors, situé sur la commune de Baraqueville, là où elle a grandi avec une scolarité classique : école primaire à Vors, collège à Baraqueville et lycée Foch à Rodez (avec un baccalauréat série L en poche), Elisabeth Carrel avoue "un lien très fort" avec l’Angleterre. Elle est d’ailleurs devenue Elizabeth Taku.
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