Rüzgar Mehmet Akgün

Sep 8, 2024 | lemonde.fr | Rüzgar Mehmet Akgün |Cellule enquête vidéo |avec Lighthouse

Cet article vous est offert Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous Se connecter Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ? Inscrivez-vous gratuitement La scène se passe dans la cour en terre battue d’une ferme, au Darfour du Nord, à l’ouest du Soudan. Deux corps gisent à terre, l’un d’eux la tête dans une flaque de sang. Autour, une dizaine d’hommes brandissent fièrement des épées, des fouets et des fusils d’assaut de type Kalachnikov.

Sep 8, 2024 | lemonde.fr | Rüzgar Mehmet Akgün

The scene is the dirt courtyard of a farm in North Darfur, western Sudan. Two bodies lie on the ground, one with his head in a pool of blood. Around them, a dozen men proudly brandish swords, whips and Kalashnikov-type assault rifles.

Jul 3, 2024 | lemonde.fr | Rüzgar Mehmet Akgün

Cet article vous est offert Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous Se connecter Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ? Inscrivez-vous gratuitement « La situation aujourd’hui est pire qu’au lendemain du séisme », soupire Mehmet Ali Ergün, militant pour une reconstruction équitable d’Hatay. Cette région du sud profond de la Turquie a été la plus touchée par la catastrophe du 6 février 2023, qui a fait au-delà de 53 000 morts selon les chiffres officiels.

Jun 20, 2024 | lemonde.fr | Rüzgar Mehmet Akgün |Laureline Savoye |Elisa Bellanger

Cet article vous est offert Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous Se connecter Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ? Inscrivez-vous gratuitement Le Monde Afrique Soudan Depuis le 10 mai 2024, la ville d’El-Fasher, capitale de la région du Darfour, au Soudan, est le théâtre d’intenses affrontements entre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) et l’armée soudanaise.

May 31, 2024 | lemonde.fr | Liselotte Mas |Asia Balluffier |Rüzgar Mehmet Akgün

On the night of Sunday, May 26, the Israeli army bombed a camp for displaced persons, killing at least 45 people, according to the Hamas-run Ministry of Health in Gaza. In images verified by Le Monde, the bodies of children can be seen. Israeli authorities have deplored the deaths of civilians, stating that Monday's attack was not directly caused by their strike, which the IDF described as "precise" and "planned," but by secondary explosions that led to an unexpectedly large fire.