Séverine Saas's profile photo

Séverine Saas

Lausanne

Journalist and Fashion Director at Le Temps

Featured in: Favicon letemps.ch

Articles

  • 2 weeks ago | letemps.ch | Séverine Saas

    Colocataire 1: «Ah non! Ne me dis pas que tu participes à ce mouvement d’esthétisation du beurre qui sévit dans les dîners mondains et sur les réseaux sociaux! C’est bien joli, les petits poissons, les coquillages ou les colonnes grecques servis avec assiettes florentines et couteaux en argent, mais personne ne les mange et ils finissent à la poubelle. Cette lubie est d’autant plus indécente qu’en Europe, le prix de cette denrée alimentaire a flambé l’an passé. Et puis, pourquoi cet engouement?

  • 2 weeks ago | letemps.ch | Séverine Saas

    4 min. de lecture Du papier glacé des magazines aux murs immaculés des musées, il n’y a qu’un pas, que le photographe américain Tyler Mitchell franchit tel un sprinter. En 2018, il devient célèbre du jour au lendemain en immortalisant la pop star Beyoncé pour l’édition américaine de Vogue. A 23 ans à peine, ce jeune homme originaire d’Atlanta est alors le premier Afro-Américain à signer la couverture de la vénérable institution.

  • 1 month ago | letemps.ch | Séverine Saas

    2 min. de lecture Amie 1: «Où pars-tu en vacances cet été?»Amie 2: «J’ai décidé d’arrêter de voyager pendant quelque temps.» Tout comprendre, mieux s’informer: accédez au meilleur du journalisme suisse avec notre offre combinée Le Temps & Heidi.news. Abonnez-vous en quelques clics et payez facilement avec Twint. Vous avez déjà un compte ?

  • 2 months ago | letemps.ch | Séverine Saas

    10 min. de lecture Du défilé de la veille, il ne reste rien. Ni le long podium traversant le rez-de-chaussée, ni les centaines de sièges en rang d’oignons, ni l’effervescence de la foule. Trônent encore les photos des mannequins, leur allure de baroudeuses et baroudeurs urbains mâtinée de références à l’univers de la danse. Mais leur énergie a quitté les lieux. Seuls les vêtements demeurent.

  • 2 months ago | letemps.ch | Séverine Saas

    5 min. de lecture L’événement le plus marquant de la Fashion Week parisienne était une absence: celle de la peur. Ou, tout du moins, l’aveu de la peur. Dans les rangs des défilés, qui se sont achevés mardi soir, tout se passait comme si… rien. Pratiquement personne pour s’inquiéter du basculement géopolitique mondial ou de l’obscurantisme trumpien.