Sophie Dorgan

3 days ago | lequipe.fr | Sophie Dorgan

Au Giant Open, on s'intéresse d'habitude aux performances sportives. On observe les coulées, on vérifie le taux de lactate, on analyse les chronos... Ce week-end à Saint-Denis, on a changé d'unités de mesure pour assister aux performances... politiques, avec un défilé continu des différents institutionnels pour faire le service après-vente de l'héritage des JO. On n'a pas constaté de longues coulées, sauf pour les aréopages toujours aussi nombreux.

3 days ago | lequipe.fr | Sophie Dorgan

Devant des tribunes toujours bien vides, les Français ont réalisé dimanche une bonne dernière journée lors du Giant Open, disputé pour la première fois au centre aquatique olympique à Saint-Denis. Cette compétition de travail a permis à chacun de se rassurer à l'image d'Anastasiia Kirpichnikova qui a repris tardivement l'entraînement et cherchait quelques points de repères.

5 days ago | lequipe.fr | Sophie Dorgan

À travers les grandes baies vitrées, on aperçoit le Stade de France. Le centre aquatique attendu depuis des décennies a enfin trouvé sa place à Saint-Denis. Un des héritages des Jeux Olympiques de Paris. « En 2008 en partant aux Jeux, on parlait déjà d'une piscine à Saint-Denis qui n'avait jamais vu le jour (sourires). Là, grâce à l'organisation des Jeux et de Paris 2024, ça a vu le jour, raconte Alain Bernard, directeur du Giant Open.

6 days ago | lequipe.fr | Sophie Dorgan

Les dossiers s'accumulent sur le bureau de Denis Auguin, directeur technique national par intérim après le départ de Julien Issoulié, et celui libellé « Léon Marchand » occupe évidemment le dessus de la pile. Le quadruple champion olympique sera-t-il en juin aux Championnats de France qualificatifs pour les « Monde » ? Y aura-t-il une dérogation pour lui s'il ne fait pas le déplacement à Montpellier ?

6 days ago | lequipe.fr | Sophie Dorgan

Quand elle sort de la piscine les joues rougies par deux heures d'efforts, Anastasiia Kirpichnikova s'étonne qu'on soit venu la voir à l'entraînement : « Ce n'est que pour moi ? » Oui, ce n'est que pour elle. Comme si elle avait oublié son statut de vice-championne olympique du 1 500 m. Ça lui paraît si loin. Loin de l'athlète qu'elle était l'an dernier. Loin de ses chronos. Loin de sa forme. Elle avoue que les émotions des JO s'effacent avec le temps.