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1 week ago | 
liberation.fr | Fabien Leboucq |Ludovic Séré |Stéphanie Harounyan
JusticeArticle réservé aux abonnéspar Fabien Leboucq, Ludovic Séré et Stéphanie Harounyan, correspondante à MarseilleQui en veut à l’administration pénitentiaire ? C’est la question que posent les atteintes aux bâtiments, notamment des prisons, et aux véhicules des fonctionnaires de cette direction du ministère de la Justice. Depuis dimanche 13 avril, et principalement dans la nuit de lundi à mardi, une dizaine de sites ont été touchés, principalement en Ile-de-France et dans le sud du pays.
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2 weeks ago | 
flipboard.com | Coppelia Piccolo |Stéphanie Harounyan |Clémence de Blasi
2 hours ago"Je suis directrice de deux agences Crédit Agricole dans l'Aisne - voici combien je gagne chaque mois""Je travaille au Crédit Agricole Nord-Est depuis presque dix ans", raconte Amélie Roisot. À 34 ans, elle est, depuis juillet 2024, directrice de deux …2 hours agoL'Atelier politique - Antoine Léaument : «sur l'Algérie, B. Retailleau se comporte en ministre des ennemis de l'intérieur»Antoine Léaument est l'invité de l'Atelier Politique.
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2 weeks ago | 
liberation.fr | Stephane Dubromel |Coppelia Piccolo |Stéphanie Harounyan |Clémence de Blasi
ReportageArticle réservé aux abonnéspar Coppélia Piccolo, Envoyée spéciale à Nangis (Seine-et-Marne), Stéphanie Harounyan, correspondante à Marseille et Clémence de Blasi, Correspondante à LilleQuelques jours après la condamnation de Marine Le Pen, la France reste polarisée.
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Jan 10, 2025 | 
liberation.fr | Stéphanie Harounyan
C’est la nouvelle année et Benoît Payan a fait un vœu ce vendredi devant la presse, en espérant que le nouveau Premier ministre l’entende. Un avertissement plutôt, alors qu’à Paris, les consultations politiques autour du futur budget de l’Etat sont dans la dernière ligne droite, en vue d’une présentation devant le Sénat la semaine prochaine.
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Dec 20, 2024 | 
liberation.fr | Emanuel Descours |Juliette Delage |Marlène Thomas |Stéphanie Harounyan
Devant le palais de justice d’Avignon, le verdict du procès des viols de Mazan a laissé un goût d’inachevé aux centaines de militantes féministes, venues témoigner de leur soutien à Gisèle Pelicot, ce jeudi 19 décembre.
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Dec 19, 2024 | 
liberation.fr | Juliette Delage |Stéphanie Harounyan |Marlène Thomas
Depuis début septembre, la cour criminelle départementale du Vaucluse a jugé pour «viols aggravés» – ou agression sexuelle pour l’un d’entre eux – sur Gisèle Pelicot, 51 hommes de 27 à 74 ans, issus de tous milieux sociaux. A la tête de ce système tentaculaire de violences sexuelles sous soumission chimique, son ancien mari, Dominique Pelicot.
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Dec 18, 2024 | 
liberation.fr | Marlène Thomas |Stéphanie Harounyan |Juliette Delage
«Du procès, il me restera les sons. Les rires des accusés, cette voix étouffée sous un masque me menaçant dès mes premiers pas à Avignon («les journalistes, ils n’ont pas peur qu’on les retrouve»), la sonnerie stridente marquant le début de l’audience, les ronflements de Gisèle Pelicot sur les vidéos quand mes yeux ne pouvaient plus soutenir l’horreur des images, sa respiration étouffée, les chuchotements glaçants de Dominique Pelicot.
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Dec 18, 2024 | 
liberation.fr | Stéphanie Harounyan
Un ampli sous un parapluie, posé sur un banc de la Plaine, la plus grande place du centre-ville de Marseille. Le ciel gris a un peu dégarni l’esplanade, mais le petit marché paysan voisin draine tout de même du monde en cette fin de journée. Certains curieux, poireaux dépassant du sac, ont repéré les mégaphones qu’une petite troupe s’affaire à connecter.
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Dec 16, 2024 | 
liberation.fr | Stéphanie Harounyan
Une dernière fois, ils pourront s’exprimer sur l’indicible. Après trois mois et demi d’audiences, les 51 hommes jugés au procès des viols de Mazan prendront de nouveau la parole, ce lundi 16 décembre. Puis la cour criminelle du Vaucluse se retirera pour délibérer, pour un verdict très attendu, a priori jeudi.
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Dec 11, 2024 | 
liberation.fr | Stéphanie Harounyan
Pendant plus de trois mois, Libération a suivi le procès des viols de Mazan au tribunal judiciaire d’Avignon. Le principal accusé, Dominique Pelicot, est l’architecte d’un système tentaculaire de violences sexuelles sous soumission chimique, dans le cadre duquel il a violé et fait violer celle qui était alors sa femme, Gisèle Pelicot, par des inconnus recrutés en ligne. A ses côtés, 50 coaccusés se sont succédé à la barre de la cour criminelle départementale du Vaucluse.
