
Sylvain Cormier
Music Critic and Author at Le Devoir
Né bédé, yéyé, Beatles. Critique chanson/rock au Devoir. A souri plus souvent que maugréé. Collectionne comme il respire. Aime rimer.
Articles
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6 days ago |
ledevoir.com | Sylvain Cormier
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6 days ago |
ledevoir.com | Sylvain Cormier
Si l’on était en France, il y aurait une intégrale en CD, comme pour Marie Laforêt, Michèle Torr et bien d’autres. Ici, outre les 34 grands succès de C’était le début d’un temps nouveau, compilation de 1998, on n’a longtemps eu que dalle. Le reste ? Ce qu’on appelle les « chansons d’album », ce n’était nulle part ailleurs que chez les collectionneurs. Jusqu’à ce remarquable Airs du temps, qui vient propager dans le nuage numérique 22 fois Renée Claude en plus.
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1 week ago |
ledevoir.com | Sylvain Cormier
Grosse affaire endimanchée et mobilisée à la Tohu par la SOCAN et ses membres : une 34e flopée de prix à distribuer, un centenaire à souligner, et un adversaire de taille à combattre. Nommément : l’intelligence artificielle. La présidente générale Jennifer Brown, le président du conseil d’administration, Marc Ouellette, et surtout, l’ancien chef des troupes Gilles Valiquette l’ont dit haut et fort. Surtout Valiquette, toujours éloquent. « Chaque jour, tout reste à faire », a-t-il lancé.
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1 week ago |
ledevoir.com | Sylvain Cormier
Ça fait longtemps. Presque deux décennies depuis que Marc Favreau est parti rallumer le firmament. Il faut voir le spectacle moitié monologues interprétés, moitié chansons décantées desdits mots enchantés par Sol le clown à la cloche, pour mesurer ce qui s’était presque perdu, ce qui risquait le méchant oubli.
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1 week ago |
ledevoir.com | Sylvain Cormier
On était en plein confinement, la dernière fois. L’album Les cormorans n’avait pas moins pris son envol. En pleine prison du chaos ambiant, nous retrouvons Sandra Le Couteur, interprète au timbre grave pour causes gravissimes, le temps de cinq chansons valeureuses qui portent plus intensément encore le combat pour s’en sortir. Cela s’adresse cette fois à un Monsieur Théodore, qui « boit la mer sur l’île imaginaire » : entendra-t-il ces appels ?
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