Sylvie Logean

1 week ago | letemps.ch | Sylvie Logean

10 min. de lecture Elle est la première neurochirurgienne de Suisse. Lui, professeur en neurosciences, est fasciné depuis plus de vingt ans par le développement de nouvelles stratégies visant à restaurer les réseaux neuronaux après une lésion de la moelle épinière.

1 month ago | letemps.ch | Sylvie Logean

Lorsqu’il s’agit d’échapper aux assauts de notre système immunitaire, les cellules cancéreuses possèdent des techniques de camouflage particulièrement élaborées. L’une d’entre elles réside dans leurs propriétés mécaniques. Leur paroi est en effet plus molle que celle des cellules saines et cette souplesse s’avère très efficace pour dérouter les lymphocytes T, qui peinent – faute de résistance suffisante – à s’accrocher et injecter du matériel cytotoxique, indispensable à leur destruction.

Feb 7, 2025 | letemps.ch | Aurélie Coulon |Sylvie Logean

6 min. de lecture Un nouveau jalon a été franchi dans la xénotransplantation. Le 25 janvier dernier, le Massachusetts General Hospital (MGH) de Boston a réalisé une deuxième greffe de rein de cochon humanisé sur un patient de 66 ans nommé Tim Andrews. Ce dernier était sous dialyse depuis plus de deux ans en raison d’une insuffisance rénale terminale.

Oct 14, 2024 | letemps.ch | Sylvie Logean

Accueil Sciences Santé Réservé aux abonnés Publié le 15 octobre 2024 à 12:07. / Modifié le 15 octobre 2024 à 12:11. Offrir l'article Faites plaisir à vos proches. En vous abonnant, vous pouvez offrir des articles. S'abonner Déjà abonné(e) ? Se connecter La problématique est délicate: doit-on pouvoir recourir à une association d’aide au suicide lorsque l’on est atteint de la maladie d’Alzheimer?

Jul 16, 2024 | letemps.ch | Sylvie Logean

Hausse effrénée des coûts d’un côté, pertes importantes dans l’assurance de base de l’autre… Bien qu’il soit l’un des plus performants au monde, le système de santé suisse apparaît aussi comme bien mal en point. Dans cette spirale infernale des dépenses sanitaires, les médicaments prennent une part toujours plus importante. En 2016, ceux-ci représentaient 11,5% des coûts à la charge de l’assurance obligatoire, contre 22% aujourd’hui. Soit la coquette somme de 8,5 milliards de francs.