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6 days ago |
la-croix.com | Thomas Guichard |Correspondant à Istanbul
Reportage Article réservé à nos abonnés. Une trentaine de lycées prestigieux ont vu une partie de leurs professeurs contraints de changer d’établissement et de ville, le 8 avril. Les enseignants concernés avaient pris part aux récents mouvements de protestation. Une tentative supplémentaire de museler l’opposition, selon les lycéens et parents d’élèves mobilisés.
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3 weeks ago |
thecaliforniacourier.com | Thomas Guichard |La Croix
By Thomas Guichard, La CroixThe Armenian government is funding in vitro fertilization for families grieving soldiers lost in the war with Azerbaijan, aiming to create a new generation of siblings for the fallen—serving both natalist and nationalist goals. Plastic storks loom over the parking lot of a reproductive clinic on the outskirts of Yerevan, Armenia’s capital. Swaddled babies dangle from their beaks. Inside, the clinic’s doctors are considered the country’s best in reproductive medicine.
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4 weeks ago |
international.la-croix.com | Thomas Guichard
Plastic storks loom over the parking lot of areproductive clinic on the outskirts of Yerevan, Armenia’s capital. Swaddledbabies dangle from their beaks. Inside, the clinic’s doctors are considered thecountry’s best in reproductive medicine. Chief embryologist Dr. TatevikKirakosyan finds the décor fitting. Her consultation room is filled with storkimagery, down to a pin on the lapel of her white coat. To her clients, she isthe miraculous stork herself.
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4 weeks ago |
la-croix.com | Thomas Guichard
Les réverbères sur le parking de la clinique sont surplombés de cigognes en plastique. Des bébés emmaillotés au bout du bec. Ici, à la sortie d’Erevan, la capitale, les médecins de cette clinique sont considérés comme les meilleurs en Arménie en matière de biologie reproductive. La docteure Tatévik Kirakosyan, embryologiste en chef, trouve la décoration de bon goût. Sa salle de consultation est remplie de cet oiseau, jusqu’au pin’s épinglé au revers de sa blouse blanche.
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1 month ago |
la-croix.com | Thomas Guichard |Correspondant à Istanbul
L’aqueduc de Valens sert de décor à ce scénario qui se répète chaque soir depuis l’arrestation, mercredi 19 mars, d’Ekrem Imamoglu, le maire d’Istanbul et rival désigné du président turc, Recep Tayyip Erdogan : après les discours de membres de l’opposition sur le square de Saraçhane, des milliers de personnes continuent à tenir tête aux policiers jusqu’à une heure avancée de la nuit, malgré l’interdiction de rassemblement émise par le gouverneur d’Istanbul.
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Il est une anecdote que le pape François a souvent employée : « Faire des réformes à Rome, disait-il, c’est comme nettoyer le sphinx d’Égypte avec une brosse à dents. » Douze ans d'un pontificat de réformes @heloise_dn @LB2S @LaCroix

Mort de François : le pape qui voulait réformer l’Église catholique https://t.co/E2eXKW0yze

Certains acteurs se planquent, d'autres parlent : le cinéma sous pression en Turquie. "Nous n’avons pas assez réagi et cela a encouragé le pouvoir", déplore le réalisateur Emin Alper. Dans @Telerama cette semaine et en ligne depuis quelques jours ici : https://t.co/Q6N8pJUjA4

RT @maelthierry: « Etre jeune en Turquie, c’est une torture quotidienne » : l’université du Bosphore, épicentre de la révolte de la jeuness…