Thomas Guichard

1 week ago | international.la-croix.com | Thomas Guichard

Karine Sahakian no longer watches the news. The 45-year-old prefers oldvideos of her pigs — once happily trotting through the garden of her home inHadrut, a town in Nagorno-Karabakh now emptied of its Armenian residents. Forced to flee to neighboring Armenia in 2023 as Azerbaijan retook theenclave by force, Sahakian released her 40 pigs into the wild. “What amistake,” she says repeatedly.

1 week ago | la-croix.com | Thomas Guichard

Depuis longtemps, Karine Sahakian ne regarde plus les informations à la télévision. Cette femme de 45 ans préfère visionner de vieilles vidéos de ses porcs. Les voilà qui courent, folâtrent, dans son ancien jardin, celui de Hadrout, dans le Haut-Karabakh, désormais vidé de toute présence arménienne. Cet article est réservé aux abonnés Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique Je m'abonne

2 weeks ago | la-croix.com | Thomas Guichard

Sergeï, probablement un faux nom, monte dans un taxi, en descend, titube, puis grimpe dans un autre. Ce Russe est ivre mort, en tee-shirt, au milieu du parking géant qui sert de marché de revente de voitures. Personne ne s’étonne de sa présence, surtout pas le vendeur qui vient de lui suggérer d’opter pour une Porsche rutilante. Derrière, sur le circuit dédié aux essais, les voitures tournent sur elles-mêmes, des pneus crissent à s’en déchirer le tympan.

2 weeks ago | la-croix.com | Thomas Guichard

Ne parlez pas du Festival de Cannes à Mehdi Shabani. Assis à la terrasse d’un centre culturel d’Istanbul, ce réalisateur iranien de 50 ans raconte, tout en enchaînant cigarette sur cigarette, comment vivre en Turquie l’a éloigné de cet univers-là. « Cannes était un festival, c’est-à-dire un lieu de rencontre pour tous, à la grande époque des Cahiers du cinéma. C’est devenu un marché, lâche-t-il. Cannes ne me choisira jamais, car les films d’un exilé à Istanbul ne collent pas aux goûts des Européens.

2 weeks ago | thecaliforniacourier.com | Thomas Guichard

The sound of Edita Gzoyan’s heels echoes on the museum’s tiled floors as she leads visitors to a small corner dedicated to France. Behind glass are clerical writings, diplomatic cables, and other artifacts. Gzoyan is the director of the Armenian Genocide Museum-Institute (AGMI), perched on the hills overlooking Yerevan. The museum preserves evidence of the systematic massacres ordered by the Young Turk regime starting in April 1915.