Yavuz Baydar

6 days ago | dekanttekening.nl | Yavuz Baydar

In de Italiaanse universiteitsstad Perugia komen journalisten uit de hele wereld bezorgd bijeen. ‘Eerlijke verslaggeving is urgenter dan ooit.’ ‘Hey, welkom bij de club!’ Dit was een veelgehoorde begroeting telkens als een collega uit welk deel van de wereld dan ook een journalist uit de VS ontmoette. Het weerspiegelde onvermijdelijk de wereldwijde sfeer van onrust, die op allerlei manieren tot uiting kwam tijdens het drukbezochte International Journalism Festival.

1 week ago | blogs.mediapart.fr | Yavuz Baydar

« Salut, bienvenue au club ! » Cette phrase d'accueil récurrente résonnait chaque fois qu'un collègue, venu de n'importe quel coin du monde, rencontrait un journaliste américain. Elle reflétait inévitablement l'ambiance mondiale de bouleversement, perceptible de multiples façons lors du très fréquenté Festival international du journalisme — le plus grand événement public indépendant en Europe.

2 weeks ago | blogs.mediapart.fr | Yavuz Baydar

La tendance pourrait s’inverser. Après des années d’apaisement stérile, l’Union européenne commence à envoyer des signaux forts, remettant en question les politiques de plus en plus répressives d’Erdoğan sur le plan intérieur. Dans ce qui semble être une première action conjointe pour marquer son mécontentement, les principales instances de l’UE — le Conseil, la Commission et le Parlement — dégradent leurs contacts avec la Turquie et reportent certaines réunions sine die.

3 weeks ago | svd.se | Yavuz Baydar

Silivri-fängelset utanför Istanbul, där den svenske journalisten Joakim Medin har låsts in, är ett ”koncentrationsläger” för Turkiets politiska fångar. Han och andra som orättfärdigt låsts in där behöver all uppmärksamhet de kan få. Publicerad 2025-04-01 11:12Detta är en kommentar. Eventuella åsikter som uttrycks är skribentens egna. Frasen ”Det är kallt i Silivri” har blivit en sorts dyster refräng för att beskriva de hårda förhållandena i Turkiets största högsäkerhetsfängelse utanför Istanbul.

4 weeks ago | blogs.mediapart.fr | Yavuz Baydar

Les manifestations de masse qui ont éclaté après l’arrestation d'Ekrem İmamoğlu, maire de la grande Istanbul, semblent maintenant s’apaiser alors que nous entrons dans la deuxième semaine. Menés en écrasante majorité par des étudiants universitaires – en d’autres termes, des membres d’une génération née sous le pouvoir d’Erdoğan – les manifestants ont été confrontés à une répression brutale des forces de police et à des descentes domiciliaires.