yoann Boffo

1 day ago | sudouest.fr | yoann Boffo

Les deux hommes ont pillé les réserves d’un pisciniste d’Ascain. L’enquête des gendarmes a permis de leur attribuer deux autres cambriolages. Ils ont été condamnés par le tribunal de Bayonne, mardi 22 avril Des robots de piscine. Le butin peut paraître incongru. Mais sa valeur, supérieure à 15 000 euros, explique pourquoi des cambrioleurs s’en sont pris à la société Sokoa piscine, à Ascain, le 1er avril dernier. Ils ont découpé le grillage et fracturé les cadenas de deux conteneurs de matériel.

1 day ago | sudouest.fr | yoann Boffo

Depuis mi-avril, au Pays basque, la saisie du téléphone portable est systématique lorsqu’il est établi que l’appareil a servi à acheter de la drogue. Jérôme Bourrier y voit « un outil de dissuasion » Taper le dernier maillon de la chaîne pour gêner le narcotrafic. Le procureur de la République de Bayonne annonce un durcissement des mesures prises à l’encontre des consommateurs de produits stupéfiants. « On ne peut pas lutter contre le trafic sans s’attaquer à leur usage », résume Jérôme Bourrier.

1 day ago | sudouest.fr | yoann Boffo

Une dizaine de pompiers sont intervenus à Anglet, mardi 22 avril. Le Tram bus transportait 23 passagers. Il n’y a pas eu de blessé L’accident s’est produit à l’heure de pointe, mardi 22 avril. Vers 18 h 25, un Tram’bus et une voiture se sont percutés au niveau du rond-point des Marais, à Anglet.

2 days ago | sudouest.fr | yoann Boffo

« Reste une place pour Lyon. » La petite annonce ressurgissait régulièrement, sur le groupe Facebook « Les Algériens de Lisbonne ». Pas un simple covoiturage. Les passagers étaient en situation irrégulière. Le chauffeur confisquait les passeports. Le tribunal de Bayonne l’a condamné à six mois de prison ferme et cinq ans d’interdiction du territoire pour aide à l’entrée irrégulière en France, ce mardi 22 avril. Cet Algérien de 35 ans a été interpellé le 19 avril, à Biriatou.

6 days ago | sudouest.fr | yoann Boffo

Poli, mais ferme. « Je suis arrivé en chemise, rentrée dans le pantalon, j’ai juste serré la main de ce monsieur avec toute la courtoisie possible et je lui ai annoncé la situation. » Elle est simple. Si sa victime n’accepte pas un « petit arrangement », sous la forme d’une reconnaissance de dette de 2 000 euros, il la dénoncera à la police comme pédophile. Dernière étape d’un piège patiemment mûri durant plusieurs jours. Au moins deux hommes s’y sont laissés prendre.