Ysis Percq

Jan 26, 2025 | la-croix.com | Ysis Percq

Au cœur des studios montpelliérains de France Télévisions, la « place du village » grouille de monde. Un large espace central, tout en bois, distribue, sur 16 000 mètres carrés, cinq studios, un vaste hangar de décors, une menuiserie, des bureaux, des salles de production. Un chef opérateur rejoint l’un des studios, la costumière se hâte vers l’immense dressing, une actrice vers les bureaux.

Dec 15, 2024 | la-croix.com | Ysis Percq

Les fouilles étaient attendues, des découvertes étaient espérées. Une soixantaine de familles harkies, qui avaient été reléguées au camp de Rivesaltes entre 1962 et 1965, sont, depuis plus de soixante ans, à la recherche de leur défunt. 60 corps, dont 52 bébés, avaient été enterrés indignement, quelque part, dans un cimetière sauvage, introuvable durant toutes ces années.

Nov 22, 2024 | la-croix.com | Ysis Percq

Dans cette aventure, rien ne l’intéresse plus que la rencontre d’une nouvelle personne. Lorsque Xavier, 56 ans, a découvert l’initiative « Faut qu’on parle » via une publication en ligne du média Brut, ce lecteur régulier de La Croix a tout de suite saisi cette occasion d’un débat avec un inconnu. « J’aime découvrir les gens, les regarder, les entendre», affirme d’emblée cet ancien employé spécialisé dans la logistique, devenu depuis peu enseignant dans une école universitaire de management (IAE).

Nov 13, 2024 | la-croix.com | Ysis Percq

« Renouer le dialogue. » C’est exactement ce qu’espère Marie-France lorsqu’elle s’énerve en lisant les commentaires des uns et des autres sur les réseaux sociaux. « “C’est un idiot” ; « “Il ne comprend rien”… Les formules sont trop souvent lapidaires et sans fond », regrette-t-elle. Elle s’est donc inscrite au projet « Faut qu’on parle » avec l’envie d’une bouffée d’air frais.

Nov 7, 2024 | la-croix.com | Ysis Percq

Le 5 novembre 2018, Marseille était réveillée par un bruit sourd, dans un nuage de poussière de gravats. Deux immeubles s’effondraient dans la rue d’Aubagne, provoquant le décès de huit personnes, cinq hommes et trois femmes, tous locataires ou visiteurs. Six ans plus tard, c’est un procès sur l’habitat indigne qui s’ouvre ce jeudi. De grande ampleur, il compte seize prévenus et quelque 87 parties civiles.