Yves Bergeras

Gatineau

Mélomane notoire, musicien raté, cinéphile & bédéphage. Journaliste culturel du quotidien @LeDroitca #arts #culture #Gatineau #Ottawa #Outaouais #coopLeDroit

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Articles

Des Classique(s) en vrac pour "s’attaquer à notre époque"

3 days ago | lesoleil.com | Yves Bergeras

Ce, non pas pour opposer aux œuvres phares – pas que théâtrales, d’ailleurs; la musique et le cinéma et toutes les disciplines artistiques seront sous la même loupe – une vision de notre modernité. mais pour, bien au contraire, éclairer notre époque contemporaine à travers la lecture que peuvent en faire quelques œuvres «indémodables» ou leurs illustres auteurs.
Le fil: anatomie d’une dérive

1 week ago | lesoleil.com | Yves Bergeras

Une scène du film Le fil de Daniel Auteuil. (Julien Panié/Zinc.fr)CRITIQUE / Le fil marque le retour de Daniel Auteuil à la réalisation, huit ans après la comédie Amoureux de ma femme. Cette fois, il embrasse le drame, en s’attaquant à un film de procès, genre qui semble avoir retrouvé la côte en France par les temps qui courent.
Sandrine Kiberlain dans l’apex et l’abysse de Sarah Bernhardt

1 week ago | lequotidien.com | Yves Bergeras

Immense tragédienne surnommée «la Divine» ou encore «l’Impératrice du théâtre», Sarah Bernhardt fut en son temps la toute première vraie star internationale, bien avant que le terme n’existe (et avant que les voyages en avion n’abolissent les distances; les premiers planeurs des frères Wright ne prendront leur envol qu’en 1900). D’ailleurs, l’expression «monstre sacré», qui semble banale de nos jours, a été inventée – par Jean Cocteau, dit-on – pour elle.
Sandrine Kiberlain dans l’apex et l’abysse de Sarah Bernhardt

1 week ago | latribune.ca | Yves Bergeras

Immense tragédienne surnommée «la Divine» ou encore «l’Impératrice du théâtre», Sarah Bernhardt fut en son temps la toute première vraie star internationale, bien avant que le terme n’existe (et avant que les voyages en avion n’abolissent les distances; les premiers planeurs des frères Wright ne prendront leur envol qu’en 1900). D’ailleurs, l’expression «monstre sacré», qui semble banale de nos jours, a été inventée – par Jean Cocteau, dit-on – pour elle.
Sandrine Kiberlain dans l’apex et l’abysse de Sarah Bernhardt

1 week ago | lavoixdelest.ca | Yves Bergeras

Immense tragédienne surnommée «la Divine» ou encore «l’Impératrice du théâtre», Sarah Bernhardt fut en son temps la toute première vraie star internationale, bien avant que le terme n’existe (et avant que les voyages en avion n’abolissent les distances; les premiers planeurs des frères Wright ne prendront leur envol qu’en 1900). D’ailleurs, l’expression «monstre sacré», qui semble banale de nos jours, a été inventée – par Jean Cocteau, dit-on – pour elle.
Sandrine Kiberlain dans l’abysse de Sarah Bernhardt

1 week ago | lesoleil.com | Yves Bergeras

Immense tragédienne surnommée «la Divine» ou encore «l’Impératrice du théâtre», Sarah Bernhardt fut en son temps la toute première vraie star internationale, bien avant que le terme n’existe (et avant que les voyages en avion n’abolissent les distances; les premiers planeurs des frères Wright ne prendront leur envol qu’en 1900). D’ailleurs, l’expression «monstre sacré», qui semble banale de nos jours, a été inventée – par Jean Cocteau, dit-on – pour elle.
Salon Anime Ottawa: la culture manga s’émancipe

1 week ago | ledroit.com | Yves Bergeras

Le Anime Ottawa est un salon (une convention, diraient ses participants), calqué sur le modèle du Comiccon. Les deux événements sont d’ailleurs organisés par la même équipe. «Le Anime Ottawa est en passe de devenir l’un des événements de sa catégorie à la croissance la plus rapide, attirant les nouveaux fans et les fans de longue date», faisaient valoir ses organisateurs, dans un courriel envoyé le 9 avril dernier.
Daniel Auteuil: un avocat sur Le fil du rasoir

1 week ago | lesoleil.com | Yves Bergeras

Le comédien de 75 ans – qui y tient le rôle d’un avocat déterminé à défendre une cause qui semble perdue d’avance – s’est efforcé de se tenir loin de tout effet de manche cinématographique, pour se concentrer sur «les douleurs» d’un procès. En tant que metteur en scène, il a préféré s’intéresser aux tremblements de l’âme humaine, aux doutes et douleurs des personnages qui gravitent autour du procès criminel – inspiré d’une histoire vraie – dont il retrace... Le fil.
Une part manquante: jamais sans ma fille

2 weeks ago | lesoleil.com | Yves Bergeras

Neuf ans plus tôt, Jay a perdu la garde de sa fille, Lily. Pas parce qu’il était un père indigne. Sa seule faute, c’est de s’être séparé de la mère, Japonaise de souche. Délibérément vague sur les raisons de la rupture (le film se contente de suggérer que la part de responsabilité était partagée par les deux parents), pour se concentrer sur ses conséquences. Seule certitude: le divorce ne s’étant pas bien passé, Jay n’a jamais – JAMAIS – pu revoir sa fille.
Une part manquante: jamais sans ma fille, au masculin et à Tokyo

2 weeks ago | lequotidien.com | Yves Bergeras

Neuf ans plus tôt, Jay a perdu la garde de sa fille, Lily. Pas parce qu’il était un père indigne. Sa seule faute, c’est de s’être séparé de la mère, Japonaise de souche. Délibérément vague sur les raisons de la rupture (le film se contente de suggérer que la part de responsabilité était partagée par les deux parents), pour se concentrer sur ses conséquences. Seule certitude: le divorce ne s’étant pas bien passé, Jay n’a jamais – JAMAIS – pu revoir sa fille.