Cathy Dogon

2 weeks ago | letemps.ch | Cathy Dogon

«La semaine horlogère à Genève et l’équivalent de la Fashion Week à Paris pour la mode ou la Design Week à Milan pour l’ameublement et le design. Toute l’industrie mondiale de l’horlogerie est présente à Genève» commentait Christian Wipfli, fondateur de Time to Watches, mercredi 2 avril 2025. Pourtant, la Cité de Calvin n’a pas toujours été le centre du monde horloger. Longtemps détrôné par Bâle et son Baselworld, Genève est parvenue à réacquérir cette première place, progressivement depuis 1991.

1 month ago | letemps.ch | Cathy Dogon

Trois cent quarante-six tonnes d’or, c’est ce que la Suisse a exporté aux Etats-Unis depuis le début de l’année, contre seulement 9 tonnes pour la même période en 2024. Ça, c’est pour le volume, et en valeur, ça représente 28 milliards de francs d’or suisse importé par les Etats-Unis durant les deux premiers mois de l’année (contre 505 millions de francs durant la même période de 2024). Mais pourquoi?

1 month ago | letemps.ch | Cathy Dogon

«Défi sérieux»: c’est avec ces deux mots que le Conseil fédéral a qualifié le 10 mars dernier le gel de l’aide étrangère américaine, annoncé le 20 janvier par Donald Trump. Et pour cause, la Suisse et particulièrement Genève sont directement touchées par ces restrictions budgétaires. Donald Trump déclarait ce 7 février: «Quand on regarde l’Usaid, c’est une arnaque. Ce n’est qu’une arnaque. Il n’y a que peu, très peu [d’argent] dont on fait bon usage.

1 month ago | letemps.ch | Cathy Dogon

Avènement des tradwives, persécution des Afghanes, arrivée de masculinistes au pouvoir particulièrement aux Etats-Unis, musellement des féministes en Corée du Sud, recul de l’accès à l’avortement un peu partout dans le monde. La liste des droits des femmes remis en question dans le monde est longue. Selon les études sociologiques sur le sujet, la vague antiféministe contemporaine a débuté dans les années 2000 avec la popularisation des réseaux sociaux.

2 months ago | letemps.ch | Artiom Missiri |Cathy Dogon

Les étudiants serbes se sont révoltés, dénonçant «la corruption qui tue» et le népotisme en place dans le pays. Ces derniers occupent une soixantaine de facultés depuis début décembre. Ils ont d’ailleurs régulièrement été la proie d’attaques «d’inconnus» masqués. Plusieurs manifestants ont également été renversés par des automobilistes. Très vite, le slogan «Vos mains sont ensanglantées» a envahi toute la Serbie.