
Etienne Meyer-Vacherand
Journalist at Le Temps
En ce moment à la rubrique économie de @letemps, après un passage par la science et le desk web. Passé par @LaCroix, @dnatweets, @IPJdauphine.
Articles
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6 days ago |
letemps.ch | Etienne Meyer-Vacherand
9 min. de lecture Presque quinze ans après sa création, Swissto12 se prépare au lancement du premier satellite de sa conception, prévu en 2027. Née à l’EPFL, l’entreprise vaudoise s’est progressivement fait une place sur le marché des satellites géostationnaires de télécommunications (placés sur une orbite à 36 000 kilomètres où les objets tournent autour de la Terre à la même vitesse que celle-ci tourne sur elle-même).
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1 week ago |
letemps.ch | Etienne Meyer-Vacherand |Julie Eigenmann
6 min. de lecture Quelques jours après l’effondrement du glacier du Birch qui a rasé le village de Blatten (VS), il est encore trop tôt pour chiffrer le montant des dommages de la catastrophe. D’autant que la situation n’est pas encore stabilisée. La formation d’un lac créé par les eaux de la Lonza, retenues par les éboulements, continue de menacer l’ensemble du Lötschental.
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1 week ago |
letemps.ch | Etienne Meyer-Vacherand
3 min. de lecture L’attrait commercial croissant de l’espace à un corollaire: le risque de voir les débris spatiaux se multiplier. Si ces morceaux de fusées et de satellites, issus de lancements et de collisions, ne présentent pas de danger au sol dans la majorité des cas, ils pourraient menacer à terme l’accès à l’espace.
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1 week ago |
letemps.ch | Etienne Meyer-Vacherand
5 min. de lecture C’est une course contre la montre dans laquelle plusieurs entreprises se sont engagées. L’enjeu: développer les structures qui prendront la suite de la Station spatiale internationale (ISS). Et le temps est compté, puisque l’ISS, dont la construction a commencé en 1998, doit être mise hors service et désorbitée d’ici à la fin de l’année 2030. Un horizon qui peut paraître encore lointain, mais un claquement de doigts à l’échelle du développement d’un programme spatial.
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2 weeks ago |
letemps.ch | Etienne Meyer-Vacherand
5 min. de lecture Née en 2011, Sophia Genetics espère être rentable à la fin de l’année 2026. Pour Jurgi Camblong, cofondateur et directeur général de la société, dont le siège se trouve à Rolle (VD), l’objectif reste inchangé. «Nous visons une rentabilité EBITDA [bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement, ou bénéfice d’exploitation, ndlr] à la fin de l’année 2026, détaille-t-il.
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