Jean-Dominique Merchet

1 week ago | lopinion.fr | Jean-Dominique Merchet

« La Russie doit se bouger. » Donald Trump s’impatiente, comme il l’a écrit vendredi sur son réseau Truth Social, en déplorant cette « guerre terrible et insensée ». Il y a urgence. Le président américain est sans doute en train de perdre son pari sur l’Ukraine. Il s'était en effet donné cent jours après son investiture pour conclure un accord de cessez-le-feu, comme le rapportait The Wall Street Journal. Pour y parvenir, il lui reste donc à peine deux semaines.

2 weeks ago | lopinion.fr | Jean-Dominique Merchet

Le SCAF n’est pas (encore) tombé aux oubliettes, mais le projet franco-allemand de Système de Combat Aérien du Futur ne déclenche plus guère d’enthousiasme. L’audition du PDG de Dassault-Aviation, mercredi 9 avril à l’Assemblée nationale, n’a fait que le confirmer. Interrogé par un député, Eric Trappier a reconnu qu’il n’est « pas facile de lever des doutes quand on en a soi-même...

2 weeks ago | lopinion.fr | Jean-Dominique Merchet

Les faits - Lors d’une conférence de presse, mardi, le futur chancelier Friedrich Merz a déclaré que l’Europe pouvait compter sur l’Allemagne et sur son futur gouvernement face aux bouleversements économiques et géopolitiques en cours. « La future coalition va réformer et investir pour maintenir la stabilité de l’Allemagne, la rendre plus sûre et la renforcer économiquement», a dit le dirigeant conservateur.

3 weeks ago | lopinion.fr | Jean-Dominique Merchet

La question pourrait se résumer ainsi : avec l’administration Trump, assistons-nous à une rupture géopolitique entre les deux rives de l’Atlantique ? Ou, au contraire, est-ce un épisode d’une même bataille globale qui voit s’affronter, aux Etats-Unis comme en Europe, nationalistes conservateurs et libéraux progressistes ? Même si les désaccords autour de l’Ukraine, des droits de douane ou du Groenland sont actuellement très vifs, la seconde hypothèse est sans doute la plus probable.

4 weeks ago | lopinion.fr | Jean-Dominique Merchet

Les faits - Trente-et-un dirigeants de pays alliés de l’Ukraine, la plupart européens, mais sans les Etats-Unis, se sont retrouvés jeudi à l’Elysée dans le cadre d’une « coalition de volontaires » pour « bâtir une paix solide pour l’Ukraine et l’Europe ». L’Europe doit « prouver » qu’elle « peut se défendre », y a déclaré le président ukrainien Zelensky. Cette coalition sera désormais copiloté par le président Macron et le Premier ministre britannique Keir Starmer.