Marc Guéniat

1 week ago | letemps.ch | Marc Guéniat |Yan Pauchard

2 min. de lecture Vingt-deux minutes après le début de la conférence de presse lors de laquelle Antonio Hodgers a annoncé, mercredi, sa démission du Conseil d’Etat, l’UDC dégainait déjà. «Au vu de ses succès dans l’ensemble de la Suisse en général et à Genève en particulier, l’UDC revendique légitimement un siège», expliquait le parti. La veille, alors que la rumeur enflait, son président Lionel Dugerdil avait d’ailleurs convoqué une réunion de famille pour «obtenir sa bénédiction».

1 week ago | letemps.ch | Marc Guéniat

2 min. de lecture Face à la complexité du monde et la multiplication des processus qui incitent à penser en silos, trop rares sont les élus capables de conserver et surtout de transmettre une vision holistique, de mener une politique intelligible, faite de choix et de renoncements, suscitant des désaccords mais cherchant à sceller des accords.

1 week ago | letemps.ch | Marc Guéniat

8 min. de lecture Une figure marquante de la politique genevoise tire sa révérence. En milieu de législature, Antonio Hodgers a annoncé ce mercredi sa démission du Conseil d’Etat, estimant être arrivé au bout d’un cycle politique, avoir mené les réformes qu’il voulait porter au sein du très exposé Département du Territoire, qui comprend l’aménagement, l’environnement ou l’énergie. Il met ainsi un terme à une carrière politique longue de près de trente ans, entamée en 1997 à l’âge de 21 ans.

2 weeks ago | letemps.ch | Marc Guéniat |Sébastien Ruche

4 min. de lecture Mardi 6 mai se tiendra la 97e assemblée générale de la Fédération des entreprises romandes Genève (FER). Programme alléchant avec le traditionnel cocktail dînatoire, et la partie officielle avec la venue de Patrick Chappatte, dessinateur du Temps, ainsi que le discours de Nathalie Fontanet, présidente du Conseil d’Etat. Mais avant ces réjouissances, la partie statutaire s’annonce plus délicate que d’habitude.

2 weeks ago | letemps.ch | Marc Guéniat

3 min. de lecture L’Orient est «compliqué», écrivait le général de Gaulle dans ses Mémoires. Sans doute ignorait-il le fonctionnement de l’impôt communal à Genève. On lui pardonne volontiers son choix de l’aborder «avec des idées simples». Et non simplistes. C’est peut-être cette nuance qui fera la différence dans le vote des Genevois, appelés à se prononcer le 18 mai sur l’initiative «J’y vis, j’y paie».