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3 weeks ago |
journaldequebec.com | Marianne Langlois
Refuges à pleine capacité, animaux laissés sur le bord des routes, abondance de petites annonces sur le web: le Québec connait sa pire année d’abandons animaliers depuis 5 ans, alors qu’il reste moins d’un mois avant le 1er juillet. «On sent encore les effets des adoptions faites pendant la pandémie. C’est la plus forte hausse d’abandons des cinq dernières années qu’on vit actuellement», déplore Laurence Massé, directrice générale de la SPCA de Montréal.
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3 weeks ago |
journaldemontreal.com | Marianne Langlois
Actualités Société Ben Pelosse / JdeM PARTAGE PARTAGE Refuges à pleine capacité, animaux laissés sur le bord des routes, abondance de petites annonces sur le web: le Québec connait sa pire année d’abandons animaliers depuis 5 ans, alors qu’il reste moins d’un mois avant le 1er juillet. «On sent encore les effets des adoptions faites pendant la pandémie.
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3 weeks ago |
journaldequebec.com | Marianne Langlois
Une entrepreneure québécoise s’apprête à lancer une plateforme web afin de faciliter la vie des propriétaires de chiens en répertoriant les lieux partout au Québec où leurs pitous sont acceptés. «C’était vraiment un grand manque! En tant que propriétaire de chiens, j’avais de la misère à m’y retrouver», explique Marie-Claude Rivard, la fondatrice de la plateforme web Les Pattes Voyageuses.
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3 weeks ago |
journaldemontreal.com | Marianne Langlois
Actualités Société Marie-Claude Rivard et ses deux chiens. Photo PIERRE-PAUL POULIN PARTAGE PARTAGE Une entrepreneure québécoise s’apprête à lancer une plateforme web afin de faciliter la vie des propriétaires de chiens en répertoriant les lieux partout au Québec où leurs pitous sont acceptés.
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3 weeks ago |
journaldequebec.com | Marianne Langlois
Les amateurs de maïs et de petits fruits devront patienter quelques semaines supplémentaires pour goûter à leurs produits favoris, en raison d’un printemps particulièrement pluvieux et froid. «Il y a beaucoup de retard! Les plantations de maïs ont été repoussées de deux semaines, comme on ne pouvait pas entrer dans les champs. Pour toutes les autres cultures, on parle d’au minimum une semaine de retard», constate Dérek Vaillancourt de la Ferme d’Auteuil et du kiosque Chez Vaillancourt, à Laval.
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