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2 weeks ago | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
Vous lancez des essais cliniques sur un vaccin par spray nasal contre le Covid-19. Comment vous est venue l’idée ? Les vaccins actuels contre le Covid-19 – des vaccins à ARN injectés en intramusculaire – ont été conçus pour protéger contre les formes graves de la maladie, ce qu’ils font très bien. Ils induisent une réponse immunitaire dite « systémique » qui se traduit par le recrutement de cellules immunitaires dans le sang et les tissus.
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1 month ago | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
La découverte d’un texte ancien disparu, connu seulement par sa mention dans d’autres écrits, est un phénomène rare. Celle d’un fragment du premier catalogue d’étoiles comportant des données chiffrées avait ainsi fait sensation en 2022.
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Jan 17, 2025 | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
Cartographier toutes les cellules du corps humain, tel est le projet ambitieux qu’un vaste consortium international, le Human cell atlas consortium, a lancé en 2016. Le défi est colossal : on estime que le corps humain compte environ 37,2 milliards de cellules.
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Nov 26, 2024 | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
Vous êtes archéo-ichtyologue. En quoi consiste votre travail ? Je suis biologiste et ichtyologue de formation. C’est au cours de ma thèse, dans les années 1990, que j’ai commencé à travailler avec des archéologues.
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Oct 7, 2024 | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
Le nématode Caenorhabditis elegans est décidément un habitué du prix Nobel. En 2002, ce minuscule ver d’environ 1 millimètre de long avait déjà eu son heure de gloire lors de l’annonce de cette récompense. Le prix célébrait alors la mise en évidence de mécanismes de régulation génétique du développement des organes et de la mort cellulaire programmée, et C. elegans était l’animal modèle qui avait conduit à ces résultats.
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Oct 1, 2024 | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
Généticienne de formation, Edith Heard est tombée dans l’épigénétique un peu par hasard durant sa thèse, qu’elle menait à l’Imperial Cancer Research Fund, à Londres, à la fin des années 1980. Cette discipline s’attache à étudier non pas le génome des cellules, mais les mécanismes qui répriment ou activent l’expression des gènes sans changer la séquence d’ADN et qui se transmettent au fil des divisions cellulaires, voire des générations.
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Aug 27, 2024 | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
1734 : Franz Anton Mesmer naît à Iznang, petit village au bord du lac de Constance, dans une principauté ecclésiastique allemande. Son père est garde forestier. 1758 : Après des études de théologie délaissées au profit des sciences juridiques, Mesmer s’installe à Vienne, où, assez vite, il abandonne le droit pour la médecine. 1766 : Il soutient sa thèse de doctorat sur l’influence des astres sur le corps humain, puis exerce à Vienne comme médecin.
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Jul 23, 2024 | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
Comment définit-on l’évolution aujourd’hui ? Le mot « évolution » est ambigu, il est utilisé dans la langue courante et a plusieurs sens. Il n’a d’ailleurs pas toujours eu la même signification au cours de l’histoire. Au XVIIIe siècle, par exemple, on l’utilisait pour désigner le développement embryonnaire. Parlons plutôt d’« évolution darwinienne », au sens de l’évolution du vivant telle qu’on la connaît aujourd’hui.
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May 22, 2024 | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
L’idée d’un lien entre cancer et système nerveux est-elle récente ? Non, elle est en fait très ancienne. La première indication connue d’un possible rôle du système nerveux dans le cancer remonte aux observations d’Hippocrate, quatre cents ans avant Jésus-Christ.
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Jul 25, 2023 | 
pourlascience.fr | Marie-Neige Cordonnier
Vous êtes physicien de formation et, depuis de nombreuses années, vous vous intéressez aux interactions de la biologie et de la physique durant le développement embryonnaire et la tumorigenèse. D’où est venu votre intérêt pour ce sujet ? Cela s’est fait un peu par hasard. Durant ma thèse, au début des années 1990, j’étais dans un laboratoire de l’Institut de biologie physicochimique, à Paris, où les chercheurs étudiaientune « pompe à phospholipide » appelée « flippase ».
