Pour la Science

2 days ago | pourlascience.fr | Sean Bailly

Lorsque l’ordinateur quantique sera vraiment opérationnel, il pourra mener les calculs en une poignée de secondes, alors qu’un supercalculateur classique prendrait des millions, voire des milliards d’années. C’est ce qu’on nomme l’« avantage quantique » (ou « suprématie quantique »). Enfin, c’est ce qu’« on » nous affirme.

6 days ago | pourlascience.fr | Francois Lassagne

Cosmos 482, le retour – Cette sonde, lancée par l’Union soviétique en 1972, dispose d’une coque blindée, pensée pour affronter les rigueurs d’une traversée de la dense atmosphère de… Vénus. La mission initiale n’est cependant pas allée plus loin que l’orbite terrestre, le vaisseau ayant subi plusieurs avaries après le décollage.

1 week ago | pourlascience.fr | Isabelle Bellin

De nombreuses tourbières sont des reliques glaciaires. Elles se sont formées lors de la dernière déglaciation, il y a 12 000 ans, là où l’eau stagnait. Des tapis de sphaignes s’y sont développés formant de véritables radeaux flottants. Ces mousses qui poussent de quelques millimètres par an sont comme des éponges (elles retiennent jusqu’à 30 fois leur poids en eau) et créent un milieu acide, pauvre en oxygène et défavorable aux microorganismes décomposeurs.

1 week ago | pourlascience.fr | Sean Bailly

La mécanique quantique est-elle à un paradoxe près ? Le chat de Schrödinger, une particule en deux endroits en même temps, etc., sont des exemples bien connus. Le supersolide est un paradoxe d’une tout autre nature. Cette phase de la matière allie la rigidité d’un cristal, c’est-à-dire un corps dans lequel les atomes sont répartis de façon régulière, et l’écoulement de friction nulle d’un superfluide.

1 week ago | pourlascience.fr | Sean Bailly

La baleine de Cuvier (Ziphius cavirostris) bat tous les records de plongée. En 2014, une équipe avait observé un individu descendre jusqu’à 2 992 mètres de profondeur en plus de deux heures. Plus récemment, un cétacé de cette espèce a effectué une plongée de 3 heures et 42 minutes ! Les mammifères marins n’ont pas la capacité d’extraire l’oxygène de l’eau comme les poissons, ils ne respirent qu’à la surface et accomplissent donc leurs plongées en apnée.