Sandrine Issartel

1 week ago | vosgesmatin.fr | Sandrine Issartel

Alain Joncour, 54 ans, a été découvert mort dans son appartement de Montigny-lès-Metz, le 5 août 2024. Un câble électrique autour du cou, six coups de couteau dans le thorax et le visage tuméfié. Au mois d’octobre, sa famille a fait le rapprochement avec un fait divers survenu à Marseille, à la prison des Baumettes. Cette intuition a conduit les enquêteurs jusqu’au suspect, mis en examen, depuis le mois de décembre, pour le meurtre d’Alain Joncour.

1 week ago | estrepublicain.fr | Sandrine Issartel

Alain Joncour, 54 ans, a été découvert mort dans son appartement de Montigny-lès-Metz, le 5 août 2024. Un câble électrique autour du cou, six coups de couteau dans le thorax et le visage tuméfié. Au mois d’octobre, sa famille a fait le rapprochement avec un fait divers survenu à Marseille, à la prison des Baumettes. Cette intuition a conduit les enquêteurs jusqu’au suspect, mis en examen, depuis le mois de décembre, pour le meurtre d’Alain Joncour.

1 week ago | dna.fr | Sandrine Issartel

Reconnu coupable par la justice pénale d’avoir escroqué la CPAM et alimenté un trafic de Subutex®, le médecin et ancien maire de Hombourg-Haut a été radié le 9 avril. Une décision de la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins. Il lui est reproché d’avoir prescrit abusivement plus de 25 000 boîtes du substitut aux opiacés en deux ans. La sanction prendra effet au 1er juillet, minuit.

1 week ago | lalsace.fr | Sandrine Issartel

Reconnu coupable par la justice pénale d’avoir escroqué la CPAM et alimenté un trafic de Subutex®, le médecin et ancien maire de Hombourg-Haut a été radié le 9 avril. Une décision de la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins. Il lui est reproché d’avoir prescrit abusivement plus de 25 000 boîtes du substitut aux opiacés en deux ans. La sanction prendra effet au 1er juillet, minuit.

1 week ago | republicain-lorrain.fr | Sandrine Issartel

Alain Joncour, 54 ans, a été découvert mort dans son appartement de Montigny-lès-Metz, le 5 août 2024. Un câble électrique autour du cou, six coups de couteau dans le thorax et le visage tuméfié. Au mois d’octobre, sa famille a fait le rapprochement avec un fait divers survenu à Marseille, à la prison des Baumettes. Cette intuition a conduit les enquêteurs jusqu’au suspect, mis en examen, depuis le mois de décembre, pour le meurtre d’Alain Joncour.