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Yasmine Chouaki

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Articles

  • 1 week ago | rfi.fr | Yasmine Chouaki

    De sol et de sang, c’est un mutant, un pacifiste qui fait la guerre, un guerrier qui veut la paix. C’est une histoire dans l’Histoire avec sa grande hache que celle de Xavier Le Clerc. Issu d’un récit colonial français invisibilisé et fils d’Un homme sans titre (son précédent roman), Le Clerc s’inscrit désormais sur le fronton de notre paysage littéraire en cheval de Troie.

  • 2 weeks ago | rfi.fr | Yasmine Chouaki

    C’est Milan Kundera qui le disait : l’Enfant, c’est une existence sans biographie. Cette phrase pourrait habiller en partie l’étrange récit d’Amado Komi. Vous le savez, souvent, pour ESM, on évoque des histoires d’identité revendiquées, secrètes ou malmenées pour cause d’assignation ou de préjugés, des identités qui se transforment au gré des exils, des impossibles retours ou simplement du temps qui passe.

  • 3 weeks ago | rfi.fr | Yasmine Chouaki

    C’est un cœur et une pensée dedans dehors, loin de tous les dogmes. Avant de sortir les jolies phrases, regardons le CV de Sophie Bessis qui nous fait l’amitié de taper du poing sur la table, en plein conflit au Proche-Orient avec son nouvel ouvrage «La civilisation judéo-chrétienne, anatomie d’une imposture» (Éd. Les liens qui libèrent).

  • 1 month ago | rfi.fr | Yasmine Chouaki

    On se construit sur l’histoire des anciens et (ai-je envie de dire) des anciennes. C’est ce que disait Géraldine Faladé, que nous recevions ESM en 2021, à l’occasion de la parution de ses Turbulentes, aux Éditions Présence africaine. C’est tellement vrai : que seraient Chimamanda Ngozi Adichie ou Leonora Miano sans le passage terrestre de ces grands-mères ou arrière-grands-mères africaines, pionnières chacune dans son domaine.

  • 1 month ago | rfi.fr | Yasmine Chouaki

    Et si le récit familial ne parlait que de notre monde ? Et si nos histoires singulières n’étaient que le miroir déformant de notre famille humaine ? Évidemment pour que ce miroir miroir nous parle, il faut le sens aigu d’une observatrice telle que Gabriella Zalapì. De livre en livre, cette plasticienne d’origines anglaise et italienne livre des paysages intérieurs faits de prénoms Wilibald, Antonia, Ilaria.