Le Monde diplomatique

1 week ago | monde-diplomatique.fr | Hélène Richard

Avant même les événements de 2014, la Crimée n’avait jamais trouvé entièrement sa place dans l’Ukraine indépendante. Cette ancienne république autonome au sein de la République socialiste fédérative soviétique de Russie (RSFSR) a perdu ce statut en 1945 sur décision de Joseph Staline avant d’être rattachée comme simple oblast à l’Ukraine soviétique en 1954.

1 week ago | monde-diplomatique.fr | Hélène Richard

Europe Loïc Ramirez Le journaliste Loïc Ramirez éclaire la trajectoire singulière, notamment en matière économique et sociale, de la Biélorussie. À la chute de l’URSS, Minsk connaît, comme d’autres pays post-soviétiques, un mouvement nationaliste qui affirme la singularité du peuple biélorusse par rapport à la Russie en se réclamant d’origines baltes, et soutient la libéralisation de l’économie. Élu à la surprise générale en 1994, le président Alexandre Loukachenko réengage le pays sur la...

2 weeks ago | monde-diplomatique.fr | Jean-Arnault Dérens

Le 26 avril, des dizaines de chefs d’État et de gouvernement se pressaient aux obsèques du pape François, qui écrivait en 2020, dans son encyclique Fratelli tutti : «Toute guerre laisse le monde pire que dans l’état où elle l’a trouvé. La guerre est toujours un échec de la politique et de l’humanité.» Pourtant, pour la plupart de ces mêmes dirigeants du monde, parler de paix serait lâche ou frivole. Les gens sérieux, eux, se préoccupent de guerre, d’armes et de dépenses militaires.

3 weeks ago | monde-diplomatique.fr | Philippe Descamps

France Info propose des balados qui décryptent «l’activité de la complosphère». Le 4 avril, «Complorama» met en ligne «L’OTAN dans l’imaginaire complotiste», une sorte de gloubi-boulga mêlant propos d’influenceurs fantaisistes (et risibles), de responsables politiques comme MM. Nicolas Dupont-Aignan ou Jean-Luc Mélenchon, et enquête historique.

3 weeks ago | monde-diplomatique.fr | Olivier Pironet

À l’été 1977, Didier Chappedelaine (futur Didier Wampas), fan du rock des sixties et de pop mais aussi de Mike Brant, a 15 ans lorsqu’il entend du punk à la radio. Une «grosse claque» fondatrice, comme il le raconte dans ses Mémoires (1). Le jeune banlieusard, issu d’une «famille ouvrière communiste», n’en pince plus que pour les Ramones, les Sex Pistols, les Undertones, les Meteors, les Cramps… En 1981, il décide de monter les Wampas avec trois amis.