Science & Vie

1 week ago | science-et-vie.com | Fleur Brosseau

La solitude peut influer sur des processus physiologiques et ainsi impacter la santé, la qualité de vie et la longévité. Cependant, lorsqu’elle est choisie et appréciée, elle peut aussi s’avérer « positive ». Le fait d’être seul est alors une véritable source de bien-être. Plusieurs recherches indiquent que les relations sociales sont essentielles au bien-être d’un individu. La solitude peut influer sur des processus physiologiques et ainsi impacter la santé, la qualité de vie et la longévité.

1 week ago | science-et-vie.com | Fleur Brosseau

Comme l’ont montré la pandémie de coronavirus et les épidémies des virus H1N1, H5N1, SRAS, Ebola et Zika, les maladies infectieuses représentent une menace croissante pour le monde. Même les maladies virales plus courantes, comme la grippe saisonnière, représentent un énorme fardeau sanitaire mondial et des pertes économiques considérables. Il est urgent d’améliorer les mesures de gestion de ces maladies.

1 week ago | science-et-vie.com | Fleur Brosseau

À l’occasion du Congrès européen de psychiatrie, qui s’est tenu en ce début avril à Madrid, une équipe de chercheurs a présenté les résultats de son étude concernant l’usage excessif du smartphone. Leur but était de mieux comprendre notre dépendance vis-à-vis de cet objet aujourd’hui indispensable à notre quotidien. Ils ont découvert que nous ne sommes pas tous égaux face aux troubles psychiques qu’il peut engendrer.

1 week ago | science-et-vie.com | Fleur Brosseau

On observe actuellement en Afrique subsaharienne une recrudescence des maladies non transmissibles. La raison ? Un basculement vers un mode de vie « à l’occidental », qui inclut de nouveaux régimes alimentaires. Des chercheurs néerlandais ont examiné les conséquences de cette transition nutritionnelle sur la santé. La charge de morbidité en Afrique subsaharienne est dominée par les maladies infectieuses.

2 weeks ago | science-et-vie.com | Fleur Brosseau

Des recherches ont montré que les patients souffrant de troubles psychiatriques, en particulier ceux atteints de maladies mentales graves telles que le trouble bipolaire ou la schizophrénie, présentent une mortalité accrue, toutes causes confondues, par rapport à la population générale. En particulier, ils présentent un risque deux fois plus élevé de mort subite d’origine cardiaque et ce, à tous âges. Les traitements médicamenteux de ces patients sont-ils en cause ?