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3 days ago | radiofrance.fr | Patrick Boucheron

Antoine de Baecque, historien et critique de cinéma, professeur à l'Ecole normale supérieure, auteur de nombreux livres sur l'histoire de la cinéphilie, biographies et revues cinéphiles.

2 weeks ago | radiofrance.fr | Patrick Boucheron

" Que peut l'art dans un pays détruit ? Presque rien hélas. Nous nous raccrochons à ce presque décisif qui se refuse au rien ". C'est ainsi que le philosophe Nibras Chehayed désigne, dans son livre La destructivité en œuvres, ce presque rien de beauté, de délicatesse et de lucidité qui, chez les artistes syriens, fit front à la destruction.

3 weeks ago | radiofrance.fr | Patrick Boucheron |Sophie-Catherine Gallet

En 1981, l'artiste afro-américain Romare Bearden composait une série de 19 collages intitulée Paris Blues/Jazz dont la forme même - colorée, fragmentée, collective et indisciplinée - disait l'idéal d'un cosmopolitisme panafricain. Il le disait, ou plutôt il l'improvisait, sur un air de jazz. Et il est vrai que lorsqu'on pense aujourd'hui à la présence des artistes noirs dans le Paris de l'après-guerre, on voit d'abord cela : des musiciens de jazz.

1 month ago | radiofrance.fr | Anne-Laure Barral

1 month ago | radiofrance.fr | Patrick Boucheron

" Comme si les variations des choses lui paraissaient dans le calme trop lentes, il adore les batailles, les tempêtes, le déluge ", disait Paul Valéry à propos de Léonard de Vinci, qui fit de la peinture sa seule philosophie. Mais pourquoi peindre la bataille, et depuis quel point de vue ? Celui, souverain, du général qui décide ou celui, tumultueux, des hommes qui se battent ? Faut-il donner à voir la mécanique des corps ou bien ce qui se passe, ce qui s'espace entre eux ?